SeDit D Un Bonbon Qui Pique Legerement Pique Et Pique Et Colle Aux Draps Pique Et Pique Et Ko Les Grammes On Pique Du Nez Quand Elle Pique De Pique Quand Il Est Dessnacks succulents. Si les barbecues sont le moment idĂ©al pour prĂ©parer des sliders riches et dĂ©cadents, la cuisine de pique-nique fonctionne mieux lorsque les recettes sont lĂ©gĂšres et fraĂźches. Cela dit, un assortiment de salades, de fruits, de lĂ©gumes et de fromages fait toujours l’affaire. Les bases : Brochettes de tomates Unmardi soir, dans la seconde partie du mois d'aoĂ»t 16h, dans le magasin de Farces pour sorciers facĂ©tieux RPG privĂ© entre @Hortense woodshem, @ZoĂ© Varnet et @Elowen Livingstone Elowen Ă©tait tout excitĂ©e Ă  l'idĂ©e d'aller au chĂąteau. Seulement deux petites semaines la sĂ©paraient de son arrivĂ©e Ă  Poudlard, et elle avait grand hĂąte de retrouver Quellessont les meilleures solution Ă  la dĂ©finition Se dit d un bonbon qui pique legerement ? ACIDULE [7] Quels sont les rĂ©sultats proches pour Se dit d un bonbon qui pique Produitincontestable dans toutes les marques croco se dĂ©cline Ă©galement en version qui pique. Chaque bonbon est colorĂ© sur un lit blanc gĂ©lifiĂ© sucrĂ© en forme de crocodile. Les bonbons sont prĂ©sentĂ©s en assortiment de quatre couleurs du bonbon en rouge, bleu, jaune et vert.Tendre Ă  l'intĂ©rieur, mais surprenant Ă  l'extĂ©rieur.Croco Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd. Retour RĂ©pondre Plaisirs simples PV Un mardi soir, dans la seconde partie du mois d'aoĂ»t 16h, dans le magasin de Farces pour sorciers facĂ©tieux RPG privĂ© entre Hortense woodshem, ZoĂ© Varnet et Elowen Livingstone Elowen Ă©tait tout excitĂ©e Ă  l'idĂ©e d'aller au chĂąteau. Seulement deux petites semaines la sĂ©paraient de son arrivĂ©e Ă  Poudlard, et elle avait grand hĂąte de retrouver ses amis, de dĂ©couvrir son dortoir, ainsi que certains de ses professeurs. Bon, pas tous bien Ă©videmment, elle apprĂ©hendait particuliĂšrement les retrouvailles avec son professeur de vol, puisque son vertige ne l'avait toujours pas quittĂ©e, mais dans l'ensemble elle se rĂ©jouissait de s'y rendre, dans ce qu'elle considĂšrerait vite comme sa seconde maison. Elle avait dĂ©jĂ  toutes ses affaires prĂȘtes depuis une semaine environ, des manuels scolaires aux livres optionnels, en passant par le parchemin et les plumes. Elle Ă©tait mĂȘme allĂ©e faire un tour chez Madame Guipure pour complĂ©ter sa garde robe, vu qu'elle avait beaucoup grandi et un peu grossi au cours de l'Ă©tĂ©. Ce jour-ci, elle avait eu le droit de se rendre, accompagnĂ©e de ses frĂšres et soeurs, sur le Chemin de Traverse pour qu'elle s'y achĂšte un cadeau. Elle avait l'autorisation de prendre ce qu'elle voulait. Ainsi, c'Ă©tait tout naturellement que la fillette s'Ă©tait rendue dans la cĂ©lĂšbre boutique Weasley, en espĂ©rant y dĂ©nicher son prĂ©cieux trĂ©sor. Elle entra dans la boutique et fut Ă©merveillĂ©e par tant de beautĂ©. Ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'elle y mettait les pieds, pourtant ce lieu continuait encore Ă  l'enchanter. Sautant comme un cabri, elle se rendit dans le premier rayon et se retrouva nez Ă  nez avec les bonbons explosifs. Elle aperçut un jeune garçon en manger un et explosa de rire en voyant ce qu'il lui arrivait. DerniĂšre modification par Elowen Livingstone le 17 mai 2020, 2139, modifiĂ© 2 fois. Plaisirs simples PV Hortense Ă©tait toute heureuse de faire les courses sur le chemin de traverse. Elle regardait partout, en essayant de ne rien manquer. Elle avait reçu sa lettre d’admission Ă  poudlard quelques semaines plus tĂŽt et avait impatience de dĂ©couvrir l’univers des sorciers. Soudain, une boutique retint son attention, une boutique particuliĂšrement colorĂ©e et vive. La pancarte au-dessus de la vitrine annonçait Weasley, farces pour sorciers facĂ©tieux ». Sans hĂ©siter, elle avança et franchit la porte grand ouverte et... en eu le souffle coupĂ©. Devant elle se dressait, des Ă©tagĂšres entiĂšrement recouvertes de bonbon Ă©trange les plus farfelus les uns que les autres, d’objets tordus, de capes, parchemins, flacons et bien d’autres choses qu’elle ne connaissait mĂȘme pas. - wouah !!! » Elle avait laissĂ© Ă©chapper ce mot malgrĂ© elle. Mais tout Ă©tait tellement beau et colorĂ©. Elle commença Ă  regarder le premier rayons. Rappeltout, carte de maraudeur, cape d’invisibilitĂ© et bonbons divers Ă©taient partout. Et tout les sorciers autour d’elle ne faisait que rire et sourire. MĂȘme ses parents qu’elle avait complĂštement oubliĂ© et qui l’avaient suivit, avait un grand sourire au lĂšvres. S’approchant de plus prĂšs, Hortense remarqua une caisse de bonbons qui avaient pour titre "bonbon explosifs". Un jeune garçon Ă©tait en train d’en manger et explosait Ă  chaque bonbon enfournĂ© dans sa bouche. DerriĂšre lui se tenait une jeune fille qui devait avoir un peu plus de 13 et qui le regardait tranquillement se gaver. Elle avait l’aire trĂšs gentille mais Hortense Ă©tait trop timide pour lui parler. Elle s’approcha donc des bonbons et en saisit une poignĂ©e et les regarda attentivement. - C’est bon au moins ??? » Mais qu’est ce qui me prends aujourd’hui pensa t’elle. Elle avait encore parlĂ© Ă  haute voie. Elle jeta un regard au dessus de son Ă©paule. Ses parents, quelques rayons plus tard, admiraient une carte du maraudeur en s’esclaffant et ne prĂȘtaient aucune attention Ă  leur fille. Mais malheureusement la fille qui regardait le jeune garçon Ă©tait toujours lĂ . Elle avait forcĂ©ment entendu et la prenait sĂ»rement pour une folle. Le rouge lui monta au joues. Hortense Woodshem ⁕ premiĂšre annĂ©e Serpentard ⁕ Plaisirs simples PV C'est la rentrĂ©e pour ZoĂ©, elle viens de recevoir sa lettre pour Poudlard la plus grande Ă©cole de sorcellerie du monde. Elle fait ses achats, visite les magasins pour prendre ses affaires quand... un magasin attire son attention. Sur le panneau du haut Ă©tait marquĂ© Weasley, Farces pour sorciers facĂ©tieux. Elle entra et traversa les rayons elle s'arrĂȘta pour manger des bonbons quand une fille arriva vers elle et lui demanda si c'Ă©tait bon. Puis elle rougis ... mais ZoĂ© se demanda si c'Ă©tait bien une question alors zoĂ© se retourna et lui dit - Oui c'est dĂ©licieux, rĂ©pondis ZoĂ© timidement. Mais cette fille se retourna et regardait un garçon qui mangeais des bonbons. ZoĂ© se dit qu'elle devait ĂȘtre timide comme elle. A son tour ZoĂ© regarda le garçon qui mangeait des bonbons et elle se demanda pourquoi tout le monde le regardait ??? Puis au bout de Cinq minutes elle songea que c'Ă©tait parce qu'il Ă©tait mignon et qu'il riait trĂšs fort tellement c'Ă©tait marrant. Mais bon ZoĂ© se dit tien je vais essayer de lui parler. Alors elle se retourna et vis cette fille partis. Elle chercha autour d'elle quand elle aperçu une fille magnifique avec un joli chapeau pointue. D'un pas dĂ©cider ZoĂ© alla voir cette fille pour lui parler et perdre sa timiditĂ© mais un bruit retentit dans le magasin elle se retourna et vis le garçon qui mangeait ses bonbons... Enfin plus maintenant car une grosse boĂźte de bonbons lui tomba sur la tĂȘte. Sa maman Ă©tait en train de l'aider, heureusement se dit ZoĂ© car elle aurait Ă©tĂ© trĂšs timide de l'aider surtout si le garçon la rejetait. Donc elle repris son chemin pour aller voir cette fille quand, la fille timide et la fille avec le chapeau pointue parlait toute les deux. ZoĂ© avait encore plus peur d'y aller mais elle se dit "si sa se trouve sa va ĂȘtre mes amies d et que si je ne vais pas je passe peut ĂȘtre devant une super chance". Alors elle alla les voir et leur dit -" Bonjour je suis ZoĂ© Varnet et je viens vous parlez pour faire connaissance". Les deux filles se retournĂšrent pour voir ZoĂ©. Elles sont rester un petit moment Ă  la regarder. Peut ĂȘtre n'aimait t'il pas l'accueille de ZoĂ©. Plaisirs simples PV ZoĂ© Varnet Hortense woodshem Alors qu'elle Ă©tait tranquillement en train d'observer le garçon, en pouffant intĂ©rieurement, une voix vint l'interpeler. Voyant que l'intĂ©ressĂ© ne rĂ©pondait pas, elle choisit de ne pas laisser la fillette dans l'embarras et sans rĂ©ponse. Elowen s'apprĂȘta alors Ă  parler quand une seconde fille la devança. Elle Ă©tait brune, petite, et elle trouvait ces bonbons dĂ©licieux. N'importe qui se serait senti de trop dans cette conversation qui ne la concernait pas, n'importe qui sauf Elowen. Intrusive Ă  souhait, sans l'ombre d'un mal-ĂȘtre, elle se sentait Ă  sa place partout, mĂȘme dans les lieux les plus incongrus. Elle regardait curieusement les deux filles et se prĂ©senta Ă  son tour, s'immisçant dans une discussion Ă  laquelle elle n'avait pas Ă©tĂ© conviĂ©e. - Coucou ZoĂ©, ravie de te connaĂźtre. Moi c'est Elo, comme bonjour en anglais. Et toi ? Et vous allez Ă  Poudlard Ă  la rentrĂ©e ? En quelle annĂ©e ! Elle recommençait Ă  poser ses cinq-cent questions, ne s'arrĂȘtant que lorsque l'air lui vint Ă  manquer aprĂšs sa longue tirade, son monologue mĂȘme. Elle avait hĂąte d'en savoir plus sur les deux filles qu'elle venait de rencontrer. Toujours dans le rayon des bonbons explosifs, les trois petits commencĂšrent alors Ă  discuter, et Elowen s'Ă©tait dĂ©jĂ  fait une liste mentale de toutes les questions qu'elle voulait leur poser. Plaisirs simples PV Elo s'arrĂȘta enfin de parler et paraissait Ă  bout de souffle. Comme ZoĂ© ne rĂ©pondait pas, Hortense inspira profondĂ©ment et essaya de se souvenir de toutes les questions d'Elo. " moi c'est Hortense. Je vais entrer en premiĂšre annĂ©e Ă  Poudlard. Alors je ne connais pas grand choses." Elle pris une poignĂ©e de bonbons explosifs et en fourra un dans sa bouche. Elo et ZoĂ© Ă©clatĂšrent de rire en voyant ce qui lui arrivait. " mes parents sont lĂ  bas" Dit Hortense en pointant du doigt un coin dans la boutique ou ses parents Ă©taient en pleine discussion avec un homme qu'elle ne connaissait pas mais qui avait une grosse moustache noire assortie Ă  ses cheveux. " Dit Elo, c’est comment Poudlard ? voilĂ  la question qui lui trottait dans la tĂȘte depuis un petit moment. Comment allait ĂȘtre Poudlard? Allait elle avoir des copines? J’en sortirait elle sans ses parents pendant toute l’annĂ©e ? serait elle bien accueillit ? Serait elle Ă  Serdaigle comme ses parents, ses grands parents
 et si la rĂ©ponse Ă©tait non, ses parents seraient ils fĂąchĂ©es ? et ses grands parents ? et si elle Ă©tait Ă  Serpentard !!! ce serait horrible
. elle n'avait entendu que du mal de cette maison. aprĂšs tout, touts les mages qui finissaient mal passaient par Serpentard, mĂȘme ses parents le disaient !!! Hortense reprit une poignĂ©e de bonbons explosifs pour chasser le gout amer qui s'Ă©tait installĂ© dans sa bouche. ZoĂ© Varnet et Elowen Livingstone Ă  vous ! dĂ©solĂ© pour le grand grand grand retard Hortense Woodshem ⁕ premiĂšre annĂ©e Serpentard ⁕ Plaisirs simples PV Hortense woodshem ZoĂ© Varnet Une nouvelle fille venait de prendre la parole, elle disait s'appeler Hortense et prĂ©parer sa rentrĂ©e. Elowen ressentit immĂ©diatement pour elle un dĂ©sir de protection, et voulut tout de suite lui proposer son aide. - Oh, salut Hortense ! Je pourrais te faire visiter si tu veux, j'aime bien prĂ©senter le chĂąteau, en plus il y a des cachettes rigolotes quand on sait oĂč chercher. Sans crier gare, la fillette blonde enfourna dans sa bouche une grande quantitĂ© de bonbons explosifs et se joues gonflĂšrent automatiquement. L'on entendait des explosions dans sa bouche, et Elo fut Ă©tonnĂ©e de constater que la fille arrive Ă  les garder dans sa bouche sans tout recracher. Une fois qu'elle les a eu engloutis, elle a montrĂ© du doigt ses parents, comme pour prouver son jeune Ăąge. - Les miens sont pas venus, c'est mon frĂšre qui m'accompagne. Il est Ă  la mĂ©nagerie magique, il m'attend, mais tant pis, je suis sĂ»re qu'il m'a oubliĂ©e tant il doit ĂȘtre absorbĂ© par les chouettes. Elo adorait son frĂšre, il Ă©tait son idole, un jeune adulte adorable, pĂ©tillant, gentil, toujours de bonne humeur, un vrai Poufsouffle. Elle passait beaucoup de temps avec lui depuis peu. En effet, elle avait compris qu'il avait terminĂ© sa scolaritĂ© Ă  Poudlard et qu'il ne ferait pas sa rentrĂ©e avec elle, ce qui la peinait beaucoup. Cela allait ĂȘtre une grande premiĂšre sans son frĂšre, et la rousse commençait Ă  redouter ce moment. Chassant ces pensĂ©es de son esprit, elle prit conscience que la troisiĂšme fille n'avait toujours pas ouvert la bouche. 'Elle doit ĂȘtre bien timide' se mit-elle Ă  penser. DĂ©cidant de ne pas la brusquer, elle continua sa conversation avec Hortense, en espĂ©rant que ZoĂ© se joindrait vite Ă  elles. Fort heureusement, la blondinette posa une nouvelle question, ce qui fit rapidement repartir la conversation. - Poudlard ? C'est chouette, tu verras. En plus, il y a un immense parc, les profs sont gĂ©niaux, les cours intĂ©ressants, les gens gentils, les repas, miam, un rĂ©gal... Et le mieux c'est qu'on peut vraiment ĂȘtre qui l'on veut, il y en a pour tous les goĂ»ts. Je comprends que ça puisse t'inquiĂ©ter mais je t'assure, ça va ĂȘtre trop bien, comme une deuxiĂšme famille, tu voudras plus partir ! Elle avait dit cela avec entrain, comme pressĂ©e de retrouver ses amis. Toute heureuse Ă  l'idĂ©e d'avoir dĂ©jĂ  trouvĂ© des gens qu'elle pourrait guider, elle entreprit de faire une petite danse de la joie lĂ©gĂšrement ridicule en plein milieu de la boutique, sous l'oeil effarĂ© de certains clients. Plaisirs simples PV - Poudlard ? C'est chouette, tu verras. En plus, il y a un immense parc, les profs sont gĂ©niaux, les cours intĂ©ressants, les gens gentils, les repas, miam, un rĂ©gal... Et le mieux c'est qu'on peut vraiment ĂȘtre qui l'on veut, il y en a pour tous les goĂ»ts. Je comprends que ça puisse t'inquiĂ©ter mais je t'assure, ça va ĂȘtre trop bien, comme une deuxiĂšme famille, tu voudras plus partir ! voilĂ  qui rassura Hortense et la fit rigoler quand "Elo" exĂ©cuta une sorte de petite danse chaloupĂ©e au milieu du magasin. Soudain, les parents de ZoĂ© l'appelĂšrent et la jeune fille leur dit rapidement au revoir avant de partir. - j'ai peur d'atterrir dans une autre maison, une maison comme Serpentard... confia t'elle Ă  "Elo" Hortense resta Ă©bahit devant ce qu'elle venait de dire. Elle avait eut ce secret sur le cƓur pendant des mois sans oser en parler Ă  sa famille. Et lĂ , elle venait de dire ça Ă  une inconnue qu'elle connaissait Ă  peine. Mais Hortense se sentait proche de cette jeune fille au chapeau pointu et Ă  l'air sympathique. mais elle ne pouvait pas comprendre le stress d'Hortense face Ă  son problĂšme! comment rĂ©agiraient sa famille si elle Ă©tait envoyĂ©e dans une autre maison que Serdaigle... tout le monde chez elle depuis des gĂ©nĂ©rations avait Ă©tĂ© envoyĂ© Serdaigle. Ă  toi Elowen livingston Hortense Woodshem ⁕ premiĂšre annĂ©e Serpentard ⁕ Plaisirs simples PV ZoĂ© semble ĂȘtre ailleurs, d'ailleurs elle ne tarde pas Ă  disparaĂźtre et nous nous retrouvons bien vite seules avec Hortense. Elle a l'air adorablement gentille, presque autant qu'elle semble inquiĂšte. Atterrir chez les Serpents lui fait apparemment trĂšs peur, et Elo comprend tout Ă  fait son stress. Elle n'a elle-mĂȘme jamais aimĂ© sa maison, elle sait au fond d'elle qu'elle est Poufsouffle et rien ni personne ne lui fera changer d'avis. - Des fois, le Choixpeau se trompe... Mais ça reste rare, ne t'inquiĂšte pas. Et puis, il y a sĂ»rement des gens vraiment chouettes chez les Serpy, j'en connais quelques uns de ma promo, Kaela par exemple. Si tu vas dans cette maison, hĂ©site pas Ă  te tourner vers elle, elle est vraiment gentille. Moi je voulais pas aller chez Serdy non plus, du coup si le Choixpeau se trompe pour toi aussi on n'aura qu'Ă  demander Ă  changer de maison Ă  miss Kriss si tu veux ! Miss Kriss, c'est la directrice de l'Ă©cole. Elle fait peur mais en vrai elle est gentille. Elowen aimerait rassurer la petite fille un peu mieux, mais maladroite comme elle est elle ne sait comment s'y prendre. Aussi, elle se contente de se triturer les doigts, un peu gĂȘnĂ©e. Elle relĂšve finalement la tĂȘte et sourit. MalgrĂ© son erreur de maison, elle a hĂąte de retourner en cours et de retrouver ses copains. Kaela Maes pour la mention Plaisirs simples PV Hortense fut heureuse d'avoir rencontrĂ© Elowen car c'Ă©tait le genre de personnes qui vous rĂ©chauffent le cƓur tout en plaisantant gentiment. Elle Ă©tait ravie de la rencontrer avant Poudlard car cela lui assurerait de pouvoir se reposer sur elle si jamais elle se sentait seule ou n'avait pas d'amie... - "Merci beaucoup Elowen! Tu es vraiment super sympas... J'espĂšre qu'on pourra se revoir Ă  Poudlard ! En tout cas tu m'as rassurĂ©! dit Hortense. Elle sourit Ă  Elowen d'un sourire franc et ajouta - "j'irai voir ta copine si j'atterri Ă  Serpentard... Heureusement que la directrice est gentille !!! Elowen Ă©tait vraiment gentille... Elle me faisait un peu penser Ă  ma cousine !Elle Ă©tait plus ĂągĂ©e que moi et Ă©tait trĂšs chaleureuse. j'Ă©tait en confiance avec elle. Je savais que je pouvais lui faire confiance d'instinct. Malheureusement, notre rencontre touchait Ă  sa fin mais j'espĂ©rait pouvoir la revoir Ă  Poudlard. Je vis que mes parents m'attendaient mais je voulais dire Ă  Elowen qu'on pouvait devenir amies si le fait que je sois plus jeune ne la dĂ©rangeais pas. -" Je voulais te demander... dis-je en me tordant les mains... si tu voulais bien ĂȘtre mon amie... Mais seulement si la diffĂ©rence d'Ăąge ne te dĂ©range pas !Et si tu me trouve sympas aussi... j'attendis sa rĂ©ponse et je jetais un coup d'Ɠil Ă  mes parents qui s'impatientaient de plus en plus... Elowen Livingston Hortense Woodshem ⁕ premiĂšre annĂ©e Serpentard ⁕ Plaisirs simples PV Elowen a accompli sa mission, c'est tout ce qui importe. La petite fille Ă  qui elle s'adresse est rassurĂ©e, elle va bientĂŽt se mettre Ă  avoir hĂąte de rentrer Ă  Poudlard, s'habituer Ă  vivre loin de sa famille, se faire des copains dans sa promo... Quand la rouquine reçoit un compliment, elle sourit de toutes ses dents. Oh, merci, ça c'est drĂŽlement gentil ! » Elle sent qu'Hortense va bientĂŽt devoir partir, et de son cĂŽtĂ© aussi elle va devoir se dĂ©pĂȘcher, ayant des tas d'emplettes Ă  aller faire avant la rentrĂ©e. Elle n'aime pas particuliĂšrement flĂąner dans des boutiques, mais apprĂ©cie le fait de se faire plein de copines un peu partout, comme maintenant. Il faut dire que la Serdaigle a la parlotte plutĂŽt facile ! Sa nouvelle amie a l'air de manquer d'un peu de confiance en elle puisqu'elle lui pose une question des plus insolite. Bien sĂ»r que je veux ĂȘtre ton amie ! J'm'en fiche de l'Ăąge moi, puis t'es super gentille, alors oui, on peut ĂȘtre copines ! A Poudlard, tout le monde va t'adorer, et puis si des gens t'aiment pas, tu t'en fiches, ils sont dĂ©biles, t'as pas besoin d'eux. Je vais te laisser Hortense, mais je suis trop contente de t'avoir rencontrĂ©e ! » La jeune fille dĂ©pose un bisou sur le bout de ses doigts avant de coller ces derniers au visage de la blondinette. AprĂšs ça, elle sort de la boutique, toujours tout du RP de mon cĂŽtĂ©. Merci ma crevette ! C'Ă©tait tip top ! Retour RĂ©pondre La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre S CodyCross Solution ✅ pour PARTENAIRE DE DINO À LA VOIX DE CRÉCELLE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "PARTENAIRE DE DINO À LA VOIX DE CRÉCELLE" CodyCross Faune Et Flore Groupe 163 Grille 5 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Faune Et Flore Solution 163 Groupe 5 Similaires Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours DĂ©fense contre les Forces du Mal Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Mar 13 Oct - 2007 Lorsqu'elle s'adressa Ă  lui, son cousin eut l'air surprit. Il faut dire que les deux jeunes gens s'Ă©taient revu il y a peu de temps, ne sachant pas que l'autre Ă©tait Ă©galement Ă  Poudlard, et la vĂ©ritĂ© avait Ă©clatĂ© suite Ă  un ... accident. Il Ă©tait donc plutĂŽt logique que le garçon soit encore surprit de sa prĂ©sence. Il faut dire que la jeune fille n'Ă©tait pas non plus tout Ă  fait habituĂ©e. Jusque lĂ , le monde magique et son monde "familiale" Ă©taient deux ensembles sĂ©parĂ©s. IntĂ©grer une partie de son passĂ© dans son prĂ©sent Ă©tait loin de lui dĂ©plaire, mais cela rendait les choses que son cousin allait lui rĂ©pondre, sa voisine s'adressa Ă  Gilraen d'un ton amical - Salut ! Comment tu t'appelles ? Moi c'est Amy, de Serdaigle. Tu es une amie de Leo ?La lionne rĂ©alisa alors qu'elle n'avait mĂȘme pas saluĂ© Amy alors que celle-ci Ă©tait clairement entrain de parler avec LĂ©o. Ce n'Ă©tait pas son genre d'ĂȘtre impolie, mais les circonstances Ă©tant ce qu'elles Ă©taient, elle avait occultĂ© ce dĂ©tail. Souhaitant se racheter, la jeune fille esquissa un sourire et s’appĂ©ta Ă  rĂ©pondre quand son cousin la devança - Excuse-moi Amy, je n'ai pas pensĂ© Ă  t'en parler, Je te prĂ©sente Gilraen, ma la Serdaigle sympathique, et n'Ă©tant de toute façon pas de nature timide, Gilraen poursuivi sur la lancĂ©e et se prĂ©senta - Salut ! Je suis dĂ©solĂ©e de ne pas t'avoir dit bonjour plus tĂŽt, je suis encore surprise de croiser LĂ©o ici ... Il y a encore quelques jours, je pensais qu'il Ă©tait dans une Ă©cole moldue ...Elle se rendit alors compte qu'elle reprenait sa mauvaise manie de raconter un peu trop sa vie. Elle se reprit alors et conclu - Bref, je suis enchantĂ©e Amy !Elle posa ensuite sa question concernant le sujet du cours et LĂ©o lui rĂ©pondit - J'imagine que l'on va Ă©tudier les Patronus, il s'agit d'un sort de protection, qui permet non seulement de repousser les dĂ©traqueurs, d'oĂč le jeu de mot je suppose, mais aussi de dĂ©livrer des messages...Les quelques conversations qu'elle avait entendu en arrivant lui revinrent en mĂ©moire. Alors c'Ă©tait ça, les dĂ©traqueurs Ă©taient les fameux gardiens malĂ©fiques de la prison des sorciers. Ce que les autres Ă©lĂšves disaient d'eux faisait froid dans le dos et la jeune fille espĂ©ra qu'aucune de ces crĂ©atures ne seraient prĂ©sentes pour le cours. L'idĂ©e de dĂ©livrer des messages Ă©tait, d'aprĂšs elle, beaucoup plus allĂ©chant. Mais on Ă©tait en cours de dĂ©fense contre les forces du mal ... Et les dĂ©traqueurs Ă©taient le mal Vous ne pensez quand-mĂȘme pas qu'ils vont faire entrer des dĂ©traqueurs dans l'Ă©cole ? On peut s'entrainer sans cible pour ce sortilĂšge ? Hayleah MoonroseGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Hayleah Moonrose, le Mar 13 Oct - 2233 Aujourd'hui Ă©tait un jour particulier. Enfin, oui, enfin ! Hayleah allait assister au premier cours de DĂ©fense Contre les Forces du Mal de cette nouvelle annĂ©e scolaire ! C'Ă©tait sans nul doute sa matiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e, et elle Ă©tait plus qu'impatiente de s'y rendre. Exceptionnellement, le cours ne se dĂ©roulerait pas dans la salle de DCFM habituelle mais dans une autre salle, beaucoup plus grande, situĂ©e au quatriĂšme Ă©tage. Ce n'Ă©tait rien par rapport Ă  la salle de Divination, situĂ©e au sommet de la Tour Nord mais tout de mĂȘme, ce n'Ă©tait pas une promenade de santĂ©. En sifflotant, la sixiĂšme annĂ©e enfila son uniforme et sa robe de sorciĂšre, puis, armĂ©e de sa baguette en acacia et pĂ©tale d'iris, se dirigea vers la salle de classe. Il Ă©tait rare qu'elle soit de bonne humeur de si bon matin, mais vraiment, elle avait hĂąte de commencer. Alors qu'elle montait les marches d'escaliers qui semblaient n'en plus finir, elle s'imagina quel genre de sujet allait ĂȘtre abordĂ© cette fois-ci. Les loups garous ? Les trolls ? Ou bien 
les dĂ©traqueurs ? Hayleah espĂ©rait vraiment qu'ils s'entraineraient Ă  produire des patronus. Elle avait dĂ©jĂ  essayĂ© plusieurs fois, mais elle n'avait jamais rĂ©ussi Ă  faire sortir de sa baguette plus qu'une fine brume blanche. C'Ă©tait frustrant. TrĂšs frustrant. Et elle n'aimait pas ĂȘtre frustrĂ©e. Lorsque la jeune fille arriva devant la porte de la salle de classe, elle put distinguer diffĂ©rentes voix. Beaucoup de diffĂ©rentes voix. Craignant subitement, d'ĂȘtre en retard, elle ouvrit la porte Ă  la volĂ©e et s'exclama - Excusez-moi d'ĂȘtre en retard professeur ! Euh, bonjour !Il fallait toujours qu'elle se paye la honte lorsqu'elle Ă©tait stressĂ©e. Avec un sourire maladroit, la sorciĂšre balaya la salle du regard. Les murs Ă©taient tapissĂ©s de miroirs, ce qui donnait l'impression que la salle s'Ă©tendait Ă  l'infini. Au fond de la salle, le titre du cours Ă©taient inscrits en lettre de feu Patronus DĂ©traquĂ©s. Hayleah ne put rĂ©primer sa joie et laissa Ă©chapper un "Yes !" Puis, elle reconnut un visage, non loin de lĂ  oĂč elle se trouvait. Elle s'approcha. Oui, c'Ă©tait bien Gilraen ! Elles s'Ă©taient rencontrĂ©es quelque temps auparavant Ă  la table des Gryffondors, et Hayleah lui avait prĂȘtĂ© un exemplaire du dernier livre de sa mĂšre. Elle Ă©tait en train de discuter avec un autre Gryffondor qu'elle connaissait de vue, Leo, et une Serdaigle qu'elle ne connaissait pas. Elle s'approcha du petit groupe d'un pas enjouĂ©, pile au moment oĂč Gilraen demandait - Vous ne pensez quand-mĂȘme pas qu'ils vont faire entrer des dĂ©traqueurs dans l'Ă©cole ? On peut s'entrainer sans cible pour ce sortilĂšge ?- Salut tout le monde ~, lança-t-elle en agita la main pour faire coucou. Je suis surprise de te voir ici Gilraen !Hayleah Ă©tait arrivĂ©e comme un cheveux sur la soupe. Bien jouĂ©...Elle lança un sourire gĂȘnĂ© Ă  ses trois camarades, puis, comme si de rien n'Ă©tait, rĂ©pondu Ă  la question de la premiĂšre annĂ©e - Oui, je crois qu'on peut s'entrainer sans cible et je ne pense pas qu'ils feraient entrer de vrais dĂ©traqueurs
Enfin j'espĂšre. Puis, dĂ©signant l'armoire au fond de la salle, elle ajouta Je pencherais plutĂŽt pour un Ă©pouvantard ! Elle se souvenait bien de la sa premiĂšre rencontre avec un Ă©pouvantard. Ça avait Ă©tĂ© horrible. Les Ă©pouvantards pouvaient prendre n'importe quelle forme et Ă©tait connus pour se cacher dans des endroits sombres et Ă©troits, comme des armoires ou des tiroirs. C'Ă©tait donc tout Ă  fait plausible. Hayleah se tourna alors vers Leo et la Serdaigle et leur demanda Qu'est-ce que vous en pensez ? InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Mar 13 Oct - 2334 - Je vous prĂ©sente Siobhan c'est aussi une Serdaigle. Je pense qu'elle a rĂ©pondu Ă  une partie des questions du coup. Et pour te rĂ©pondre Harmony, les dĂ©traqueurs sont les anciens gardiens de la prison des sorciers un truc comme ça. C'est Siobhan qui m'en a parlĂ© avant ton arriver. C'est vrai que c'est bizarre d'ĂȘtre acceptĂ© dans un cours pareil en vue de notre Ăąge...Vous m'avez l'air bien tendu tous les deux, il s'est passĂ© quelque chose ?Mince, c'est vrai qu'elle ne s'Ă©tait pas prĂ©sentĂ©e. Elle se sentait bĂȘte, c'est ce qui arrivait souvent lorsque elle devait interagir avec des reprĂ©sentants de son espĂšce, le social n'Ă©tait pas vraiment sa tasse de Guinness. Elle acquiesça doucement aux propos de sa jeune camarade, presque imperceptiblement et se para d'un lĂ©ger EnchantĂ©e Siobhan ! Les dĂ©traqueurs sont d'anciens gardiens de prison ? Comme celle d'Azkaban ? Mais pourquoi le professeur nous ferais affronter ça ? Harmony regarda un instant ses pieds, gĂȘnĂ©e, et, jetant rapidement un Ɠil Ă  criniĂšre-d'or-blanc dit doucement Eh bien... On s'est rencontrĂ© au Lac un week-end et LĂŻnwe s'est disputĂ© avec ma sƓur... Un longue histoire... - EnchantĂ©e aussi ! Fit-elle en souriant. L'Irlandaise remarqua que l'expression de sa camarade Serdaigle avait changĂ©e, et bien plus encore lorsque elle se mit Ă  parler de la dispute. En mĂȘme temps, il fallait ĂȘtre un sacrĂ© dĂ©bile pour ne pas voir ce qui Ă©tait juste lĂ  sous leurs yeux. Voulant un peu dĂ©tendre l'atmosphĂšre elle murmura Ă  l'attention d'Harmony, mais assez haut pour que ses camarade proche puissent l'entendre, elle avait de la peine pour ces jeunes gens et bien qu'elle soit d'un naturel insouciant -ou plutĂŽt elle ne se souciait que de ce qui mĂ©ritait qu'on s'en soucie- elle commençait Ă  angoisser Ă  l'idĂ©e de ce qu'il pouvait y avoir au final Ă  l'intĂ©rieur de cette mystĂ©rieuse armoire. THE mystĂ©rieuse armoire. Entre autre oui. J'ai lu des choses lĂ  dessus, mais je n'en ai jamais vu. Peut-ĂȘtre qu'ils ont tout bonnement disparus ou qu'ils vivent -ou persistent... ?- tous Ă  un endroit cachĂ© des yeux de tous. Peu de chance que ça en soit un de toute maniĂšre. On peut s'entraĂźner au sortilĂšge du Patronus sans, logiquement...AprĂšs ces mots, le jeune homme timide de prĂ©cĂ©demment vint les accoster et cela Ă©tonna l'adolescente Ă  la chevelure de jais. Cependant, l'Ă©motion qui ne tarda pas Ă  l'envahir et Ă  la dominer, c'Ă©tait la dĂ©solation. A peine avait-il ouvert la bouche qu'il rĂ©duisait ses minces efforts pour dĂ©tendre la conversation Ă  nĂ©ant. Elle le regarda, perplexe, tandis qu'il EnchantĂ©, moi c'est Nel Queen. J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! Harmony perdit alors trois teinte, comme si toute la mĂ©lanine de sa peau s'Ă©tait fait la malle sans demander son reste. Elle rĂ©pondit au jeune homme d'une voix frisant l'horreur avant que Siobhan ne puisse rattraper la bourde. La pauvre... Ils peuvent... happer notre pouvoir ? Nous faire redevenir moldu ? Ils sont...terrifiants ! On ne peut pas les faire venir ici !- Non ! Enfin, si... Enfin... Mais il n'y aura sans doute pas de dĂ©traqueur ! ...Bien jouĂ© Siobhan. Quelle as, rassurer les gens... Ce n'Ă©tait pas Ă  sa portĂ©e ! Pas avec une cohorte d'adolescent autours en tout cas. Elle allait ouvrir la bouche lorsque elle se fit couper par la professeur qui, elle ne savait pas du tout comment, les avaient Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques. Elle resta c*nne sur le moment, cilla, et se demanda si elle avait bien entendu ce qu'elle avait entendu. En savoir plus, d'accord, elle n'avait pas fait Ă©talage de ses connaissances et avait peut-ĂȘtre enjolivĂ© les faits concernant les anciens gardiens d'Azkaban... Mais "la lĂ©gende" ? De quoi pouvait-elle bien parler ? Siobhan n'en avait aucune idĂ©e mais se reprit rapidement et rĂ©torqua avec toute l'assurance qui la caractĂ©risait et d'une voix sympathique, mĂ©lodieuse. NavrĂ©e Madame Boccini, j'Ă©tais pourtant convaincue que les livres que l'on trouve Ă  la bibliothĂšque n'Ă©taient pas des romans fantaisiste du mĂȘme acabit que les articles du Chicaneur, je resterais sur mes gardes la prochaine fois, et dans le doute, viendrais prendre conseil auprĂšs d'une personne qualifiĂ©e. Merci, et dĂ©solĂ©e, ça ne se reproduira plus. Se tournant alors vers ses nouveaux camarades elle rajouta Ă  leurs attention, sur le mĂȘme ton que prĂ©cĂ©demment, trĂšs sĂ©rieuse J'ai cinq kilos de papier toilette Ă  vendre au fait, top qualitĂ©, protĂ©gĂ© par une Ă©paisseur de cuir. Ca intĂ©resse quelqu'un ? La jeune fille se surprit elle mĂȘme, jamais elle n'avait eu Ă  ĂȘtre aussi insolente tout en restant aussi respectueuse, tout comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© aussi bonne comĂ©dienne de sa vie. Elle se tourna alors vers Nel et inclina lĂ©gĂšrement la tĂȘte. Oh, au cas oĂč tu n'ai pas entendu, je m'appelle Siobhan, enchantĂ©e. Nel, c'est un prĂ©nom d'origine Allemande non ? Mordecai MagnussenGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Mordecai Magnussen, le Mer 14 Oct - 1146 Les trois mots que Jacob retiendrait pendant cette journĂ©e - malheureusement - inoubliable? Hibou, TĂȘte, et fois, la sonnerie de son rĂ©veil-hibou avait retenti. Trois fois, Jacob avait choisi de l'ignorer, dans sa transe de mi-sommeil, ne trouvant ni la force, ni la volontĂ© de s'arracher Ă  l'agrĂ©able chaleur qu'avaient capturĂ© les draps et les couvertures. Le Gryffondor savait pertinemment qu'il avait cours seulement, il comptait sur un " pardon-je-le-referai-plus-promis " machinal pour se tirer d'affaire. Jusqu'ici, tout allait bien pour Jacob les rĂ©veils-hiboux? Le son de cette merveille augmente au fur et Ă  mesure que le rĂ©veil sonne. Si on ne l'arrĂȘte pas trĂšs vite, ce rĂ©veil peut causer des troubles auditifs en gĂ©nĂ©ral, c'Ă©tait ce qui motivait les plus paresseux Ă  se tirer du lit . Le hibou passe d'un hululement sonore Ă  la premiĂšre sonnerie, un cri plus fort Ă  la seconde, et Ă  la troisiĂšme....HUYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY!!!!!!!!Jacob sursauta si brusquement que son crĂąne rencontra la rambarde de son lit. Un bruit de collision Ă©touffĂ© se fit entendre. Les jurons du jeune Gryffondor, eux, furent bien plus distincts. Il continuait Ă  dĂ©verser des flopĂ©es d'injures, en dansant de douleur Ă  travers le dortoir, jusqu'Ă  ce que la douleur finisse par s'Ă©clipser. Il se laissa tomber finalement sur son matelas, la . Rien de tel pour commencer la journĂ©e qu'une bosse sur le crĂąne. Jacob passa la main dans ses cheveux Ă©bouriffĂ©s, et sentit en effet une protubĂ©rance Ă  l'endroit de l'impact. Il poussa un soupir, puis tourna la tĂȘte vers le rĂ©veil-hibou, avant de l'envoyer valser d'un revers de main rageur. Il ramassa sa chemise qui traĂźnait sur le sol depuis deux jours le week-end, Jacob avait l'Ă©trange habitude de ne plus donner quelconque intĂ©rĂȘt Ă  ses affaires , l'enfila, la boutonna, puis attacha sa cravate, et enfin revĂȘtit sa robe de sorcier aux bords devait se dĂ©pĂȘcher il Ă©tait VRAIMENT en retard, compte tenu de la position de la salle commune par rapport Ă  celle de la salle de DCFM. Il traversa son dortoir au pas de course, attrapant sa sacoche au passage, et descendit quatre Ă  quatre les escaliers qui conduisaient Ă  la salle commune des Gryffons. Vide, Ă©videmment. La piĂšce avait le pouvoir de conserver une atmosphĂšre chaleureuse mĂȘme vide, sans feu, en hiver, Ă  six heures et demie du matin. C'Ă©tait en songeant Ă  ce genre de choses que Jacob Ă©tait heureux de s'ĂȘtre retrouvĂ© Ă  Gryffondor. merci Choixpeau Mais il n'avait pas le temps de penser Ă  ce genre de choses il franchit la salle en trois secondes. Il descendit les grands escaliers le plus rapidement qu'il put - la direction qu'ils prenaient ne dĂ©pendait pas de lui - il maudit Ă  voix haute ces foutus Ă©tages et l'imbĂ©cile qui les avait enchantĂ©s. En se concentrant bien, et prenant les bons escaliers un exercice beaucoup plus difficile qu'il n'y paraissait il parvint Ă  accĂ©der au quatriĂšme Ă©tage. Jacob gravit les escaliers quatre Ă  quatre, s'aidant de la rampe pour gagner un peu de vitesse il allait se faire terrasser par finit par atteindre la porte de la salle, essoufflĂ© ; il frappa a la porte avant d'entrer. Il rĂ©cita ses "excuses" sans rĂ©flĂ©chir, et Ă  sa grande surprise, Miss Boccini l'autorisa Ă  accĂ©der au cours sans problĂšmes. Tant mieux pour Jacob. Il esquissa un " merci, Miss " et, se rĂ©jouissant Ă  l'avance du confort d'une bonne vieille chaise en bois ou poser ses fesses, le Lion constata avec surprise que les chaises et les bureaux de la salle avaient disparu. Il haussa un sourcil. Il fallait s'attendre Ă  tout, lors des travaux pratiques de la DĂ©fense contre les Forces du Mal. MĂȘme Ă  l'absence d'un tableau, et le titre du cours Ă©crit en LETTRES DE FLAMMES. Boccini n'avait pas fait dans la finesse, cette fois. NĂ©anmoins, Jacob se questionnait sur le thĂšme du cours....Epouvantards, peut-ĂȘtre? Le lion avait hĂąte d'en savoir examina les Ă©lĂšves prĂ©sents aucune tĂȘte ne lui revenait. Il allait passer un cours seul? Bon, peut-ĂȘtre qu'il rencontrerait des gens cette fois. Il fallait dire qu'il n'avait pas des masses d'amis. Il constata avec amusement que le cours ne composait que d'un seul Pouffy. Un sourire discret se dessina sur son visage lorsqu'il vit le pauvre Poufsouffle, un peu Ă  l'Ă©cart, l'air vaguement gĂȘnĂ©. Shela DiggleSerpentard Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Shela Diggle, le Mer 14 Oct - 1744 Pas le genre de gens Ă  ne pas tenir parole, certes. Mais celle-lĂ , j'pensais pas y arriver. J'pensais pas y arriver autant. N'exagĂ©rons rien. Je suis loin du compte. Surprise, alors ? Peut ĂȘtre. Je suis dans la demi-mesure. Entre-deux. Perdue sur une corde tendue au-dessus de l'inconnu. DĂ©sespĂ©rant. Mais toutefois pas dĂ©sespĂ©rĂ©e. MĂȘme d'humeur aimable. Un peu Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, peut ĂȘtre. LĂ  mais pas tout Ă  fait. Certainement pas dans ou sur la lune, expression stupide, mais pas non plus dans cette enveloppe qu'est le corps. Entre les deux. Je crois. Aucune idĂ©e. La seule chose qui aurait pu m'arracher une grimace aurait Ă©tĂ© devoir remercier une certaine personne. Pas que j'n'en ai pas envie. C'est seulement... Et puis zut, pas comme si j'devais des explications. Comme si j'n'Ă©tais pas au courant, tiens, il n'y a qu'Ă  moi que je rabĂąche sans cesse les mĂȘmes histoires. Mes histoires. Celles que je vis, et celles que j'invente. Je lĂąchais un cordial salut Ă  Boccini en entrant dans la salle, vaste piĂšce tapissĂ©e de miroirs. IntĂ©ressant. J'avais pas d'autre mot, parce qu'en vĂ©ritĂ© c'n'Ă©tait pas une idĂ©e que j'estimais plus que ça; des miroirs partout, nos reflets partout, impossible de dissimuler quoi que ce soit, en somme. Mais j'n'avais pas envie de changer aussi vite d'Ă©tat d'esprit pour une si petite chose. On allait faire avec. J'ai pas mauvaise mine, y'a pas de problĂšme, et l'thĂšme du cours sympathique. Patronus, vous dites ? Fait longtemps que je n'en ai pas eu usage, en y rĂ©flĂ©chissant. Quant au mot dĂ©traquĂ©, j'avais du mal Ă  l'allier Ă  la boule d'Ă©nergie positive que reprĂ©sentait ce sortilĂšge. Oh wait. Etre d'humeur tranquille suffisait pas Ă  en crĂ©er un, si ? Il allait falloir forcer, apparemment. Pas gĂ©nial, mais chut, tant pis, on fera avec. Pas besoin de tout foutre en l'air en chuchotant l'incantation permettant Ă  ce petit monstre de grimper sur mes Ă©paules. Assez vue, cette bĂȘte. Mieux vaut la garder loin de soi. J'avais d'ailleurs remarquĂ© qu'elle avait tendance Ă  rĂ©apparaitre plus souvent depuis que je tentais de la tenir, cette foutue parole. Des gamins. Pas seulement, mais beaucoup de trolls sous l'Ăąge lĂ©gal avec lequel on pouvait se permettre d'aller un peu plus loin. Et Arcturus, aussi. Un chic type. Contrairement Ă  Roch. SincĂšrement, le jeune homme n'Ă©tait pas un mauvais bougre, la derniĂšre fois qu'on s'Ă©tait adressĂ© la parole, c'Ă©tait avec des trucs consommables qu'il avait achetĂ© pour d'autres que lui. Ah, tiens, la petite lĂ -bas, cheveux noirs, l'air pas trop asociale et n'entrant pourtant dans aucune des vives discussions qui emplissaient la salle - et le champ auditif. Mmh, pourquoi pas ? AprĂšs tout, je n'vois pas d'inconvĂ©nients Ă  se montrer chouette prĂ©fĂšte Ă  un membre de sa maison, me rappelle vaguement de sa bouille de nouvelle de cette annĂ©e. Thia- Salut. DĂ©jĂ  entrainĂ©e au maniement de la baguette ? Rooh, allez quoi, vu son Ăąge, elle ne pourrait saisir un sens figurĂ© Ă  cette phrase. Un simple bonjour, j'vous jure. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !LĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 14 Oct - 2321 Harmony se faufila derriĂšre Elena et LĂŻnwe. A priori, elle venait d'entendre leur conversation puisqu'elle salua rapidement les deux Ă©lĂšves avant de rĂ©pliquer- Bonjour Elena ! Coucou LĂŻnwe ! J'ai hĂąte aussi de voir ce qu'on va bien pouvoir faire ! Un dĂ©traqueur... Un dĂ©traqueur... Qu'est ce que c'est dĂ©jĂ  ?Aaah... si elle savait, elle ne les questionnerait pas dessus, c'Ă©tait certain. Les dĂ©traqueurs. C'Ă©tait sans doute l'une des pires crĂ©atures qui existent en ce monde, sans contestĂ©. Elles aspiraient progressivement l'Ăąme d'un ĂȘtre humain et prenaient tous leurs souvenirs heureux. Seule consĂ©quence possible la folie. Rien qu'en y pensant, le Gryffondor frissonna de la tĂȘte au pied. Il n'eut pas besoin de rĂ©pondre Ă  la jeune Serdaigle, les autres autour d'eux l'avaient aussi entendus et n'hĂ©sitĂšrent pas une seule seconde Ă  lui rĂ©pondre, prenant sĂ»rement plaisir Ă  raconter ce genre de choses- Bonjour ! Waouw, dĂ©cidĂ©ment je n'ai pas fini d'ĂȘtre surprise aujourd'hui... Vous semblez plutĂŽt jeune pour participer Ă  un cours portant sur les dĂ©traqueurs et sans doute les Moremplis, et tout ce qui y touche... Enfin, ne le prenez pas mal... Mais en gĂ©nĂ©ral on n'apprend ces choses lĂ  que bien plus tard... J'espĂšre pour vous que vous avez l'estomac bien accrochĂ© ! rĂ©pondit l'un des Ă©lĂšves, une Serdaigle bien plus ĂągĂ©e qu'eux trois.*Jeune ? Il n'y a pas d'Ăąge pour apprendre ce genre de choses... nan mais oh, faut pas nous prendre pour des blaireaux non plus* s'Ă©nerva intĂ©rieurement le garçon. Certes, ça allait ĂȘtre plus dur pour eux que les septiĂšmes annĂ©es par exemple, mais ça ne servait Ă  rien de les rĂ©duire en poussiĂšre avant mĂȘme que le cours ne commence. - Je vous prĂ©sente Siobhan c'est aussi une Serdaigle. Je pense qu'elle a rĂ©pondu Ă  une partie des questions du coup. Et pour te rĂ©pondre Harmony, les dĂ©traqueurs sont les anciens gardiens de la prison des sorciers un truc comme ça. C'est Siobhan qui m'en a parlĂ© avant ton arriver. C'est vrai que c'est bizarre d'ĂȘtre acceptĂ© dans un cours pareil en vue de notre Ăąge... expliqua se contentait d'Ă©couter les Serdaigles avant de dire quoi que se soit, il prĂ©servait surtout l'attention. - J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! intervint un jeune homme de Poufsouffle, lĂ©gĂšrement plus vieux que le lionceau. Visiblement, celui-ci n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise. Soit avec les gens, soit avec les dĂ©traqueurs ou soit avec la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, Ă  voir. - Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques, s'exclama la prof.*Wah, elle a du caractĂšre* ne put s'empĂȘcher d'analyser LĂŻnwe. Toutefois, il se demandait qu'est-ce qui n'Ă©tait pas vrai c'est ainsi qu'il resta quelques minutes pendant que la dite Siobhan se rĂ©pandait en excuses trop exagĂ©rĂ©es. Soudain, il se rappela une phrase du seul Poufsouffle prĂ©sent dans la salle Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents ? »- Euh... Nel ? risqua-t-il. Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta cours allait bientĂŽt commencer, les derniers Ă©lĂšves arrivaient au pas de course, quelque peu essoufflĂ©s. Il y avait toujours des retardataires mais LĂŻnwe ne pouvait leur en vouloir, pour ĂȘtre lui aussi passĂ© par lĂ  plus d'une fois. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1522 - Merci pour cette rĂ©ponse LĂŻnwe. Et non, c'est typiquement sĂ»r, les lĂ©gendes servent Ă  impressionner ses camarades et influer leur imagination. Je sais bien qu'un dĂ©traqueur est une crĂ©ature des tĂ©nĂšbres. Masse noire de forme humaine, vĂȘtu d'une cape et se nourrir de la joie des personnes et on ressent comme un grand vide, un dĂ©sespoir... Ai-je raison ? Je ne le sais pas et je ne m'affirme pas devant la classe. Je laisse planer le doute. Le cours va bientĂŽt dĂ©buter et mon cƓur bat une mesure que je ne contrĂŽle pas. Sourire gĂȘnĂ© vers Siobhan, ça commence bien avec nous deux. La prof nous rĂ©primande lĂ©gĂšrement, mais je n'en tiens pas rigueur. Je continue discrĂštement Ă  manger mes friandises d'un air innocent. La gourmandise, c'est connu chez les PouffycĂąlineurs. Peu Ă  peu, je me rapprochais du groupe des serdaigles en dĂ©laissant les serpentards que je n'apprĂ©cie pas du tout. Et sur le ton de l'humour, je leur lance une petite HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Regard innocent, sourire aux commissures... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1827 Alors qu'elle regardait le Pouffy, Harmony prit la parole. Elena remarqua rapidement qu'elle Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise aprĂšs ce qu'avait dit Sio. Elle l'Ă©couta parler sans dĂ©tourner le EnchantĂ©e Siobhan ! Les dĂ©traqueurs sont d'anciens gardiens de prison ? Comme celle d'Azkaban ? Mais pourquoi le professeur nous ferais affronter ça ? Puis elle rĂ©pondit Ă  la question au sujet de LĂŻnwe. - Eh bien... On s'est rencontrĂ© au Lac un week-end et LĂŻnwe s'est disputĂ© avec ma sƓur... Un longue histoire... La jeune aigle n'ajouta pas de commentaire, elle s'en voulait dĂ©jĂ  d'avoir parlĂ© du sujet et avait bien compris qu'Harmony regrettait la situation. ApprĂ©ciant son amie autant que le Gryffondor, elle espĂ©ra que ça s'arrange rapidement et que la conversation entre eux-deux soit aussi fluide que ça l'Ă©tait pour entreprit de rĂ©pondre Ă  ses questions tout en essayant apparemment de dĂ©tendre l'atmosphĂšre. - Entre autre oui. J'ai lu des choses lĂ  dessus, mais je n'en ai jamais vu. Peut-ĂȘtre qu'ils ont tout bonnement disparus ou qu'ils vivent -ou persistent... ?- tous Ă  un endroit cachĂ© des yeux de tous. Peu de chance que ça en soit un de toute maniĂšre. On peut s'entraĂźner au sortilĂšge du Patronus sans, logiquement...Elena n'eut pas eu Ă  dire mot pour que le Poufsouffle ce joigne Ă  eux. Il avait du comprendre qu'aucun d'entre eux n'allait le manger et qu'il pouvait donc rejoindre la conversation plutĂŽt que rester EnchantĂ©, moi c'est Nel Queen. J'ai aussi entendu dire que les dĂ©traqueurs sont des crĂ©atures qui peuvent happer votre pouvoir et vous rendre vulnĂ©rable, mais je doute un peu qu'on ai le droit d'utiliser ce genre de monstres, non ? Et concernant les patronus, est-ce qu'on peut hĂ©riter des mĂȘme que ses parents. Je n'ai eu que l'occasion d'apercevoir celui de mon pĂšre lorsqu'il a voulu me faire peur pour mon anniversaire le soir d'Halloween. Un lion terrifiant ! Il n'en fallut pas plus pour qu'Harmony ressemble Ă  un fantĂŽme. Aussi pĂąle qu'un cachet d' Ils peuvent... happer notre pouvoir ? Nous faire redevenir moldu ? Ils sont...terrifiants ! On ne peut pas les faire venir ici !La grande aigle essaya de nouveau de rassurer sans grande Non ! Enfin, si... Enfin... Mais il n'y aura sans doute pas de dĂ©traqueur ! Puis la gros choque. La prof qui repend Sio et Nel d'un coup. - Siobhan, Nel, je suis déçue ! Vous avez l'Ăąge d'en savoir un peu plus. Vous ĂȘtes censĂ©s avoir tous les deux acquis la diffĂ©rence entre les lĂ©gendes et la rĂ©alitĂ©. A tous, je vous conseille maintenant de parler d'autre chose avant le dĂ©but du cours vous verrez que les informations que vous cherchez y seront donnĂ©es de maniĂšre parfaitement vĂ©ridiques. Elena fĂ»t tellement choquer qu'elle n’aperçut pas que d'autres Ă©lĂšves entrer ou parler. Elle ne savait pas si elle devait rire ou se retenir. Les paroles de Sio la sortirent de ses pensĂ©es. Elle esquissa mĂȘme un Ă©norme sourire en entendant - J'ai cinq kilos de papier toilette Ă  vendre au fait, top qualitĂ©, protĂ©gĂ© par une Ă©paisseur de cuir. Ça intĂ©resse quelqu'un ? Avant mĂȘme qu'elle eut le temps de proposer Ă  la grande Serdaigle d'y emprunter ses livres plutĂŽt que de s'en service de papier toilette, LĂŻnwe prit la parole pour rĂ©pondre Ă  une des questions qu'avait posĂ© le Euh... Nel ? Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta vie. Alors que le Poufsouffle remerciait le Gryffondor, Elena le regarda se rapprocher, mangeant continuellement des friandises. Et la le deuxiĂšme choque de la matinĂ©e. Elle qui avait eu la gentillesse de faire en sorte qu'il vient parler avec eux se permettait de se moquer ouvertement. - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Il n'en fallait pas plus pour la jeune fille, elle n'Ă©tait pas du genre vulgaire pour se dĂ©fendre ou Ă  taper en premier, elle avait appris Ă  utiliser les mots comme d'une arme. Elle ne se donna pas la peine de se rapprocher de lui, levant ses yeux, elle les plissa lĂ©gĂšrement et tout en forçant un sourire lui rĂ©pondit - Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Elle fit mine de chercher des Poufsouffle dans la salle. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1827 - Euh... Nel ? rĂ©pondit le jeune blondinet. Je crois que l'on ne t'a pas rĂ©pondu Ă  propos du patronus. Il me semble que c'est possible dans ton cas, d'avoir un lion comme ton pĂšre. C'est surtout Ă©motionnel comme truc, mais ça peut changer au cours de ta venait Ă  peine de le rencontrer mais elle ne l'apprĂ©ciait dĂ©jĂ  pas, par chance chez elle la premiĂšre impression ne faisait que la moitiĂ© de son jugement final. Une chose Ă©tait certaine, elle allait se mĂ©fier du lionceau. Enfin bref. La remarque de la prof' l'avait dĂ©jĂ  mise en rogne, elle Ă©tait dĂ©jĂ  pas mal irritable cette semaine mais lĂ  c'Ă©tait le ponpon, elle espĂ©rait que tout allait se passer pour le mieux par la suite et qu'elle n'aurait pas Ă  sortir de ses gonds pour de bon, sa maison Ă©tait derniĂšre, et sa causticitĂ© n'allait rien arranger si elle ouvrait la bouche et dĂ©versait sa colĂšre. Elle prit une grande inspiration et conserva son sourire pour se donner l'air calme, elle excellait dans ce Merci pour cette rĂ©ponse LĂŻnwe. Et non, c'est typiquement anglais. leurs rĂ©pondit le Poufsouffle avant d'ajouter Ă  l'attention des trois Serdaigles tout en se rapprochant d'elles, HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Siobhan Ă©carquilla les yeux et son sang ne fit qu'un tour. *Non... Il... Il n'a pas osĂ©... ?!* elle le foudroya littĂ©ralement du regard, et son expression glaciale aurait fait passer les vents d'Islande pour un sirocco ardent. Elle serra les dents et une flopĂ©e d'insultes classe et amĂšre lui vinrent Ă  l'esprit. *Pour qui il se prend celui lĂ  ?*Elle leva sa baguette et d'un geste sec la pointa vers lui lorsque un bref Ă©clair lumineux en jaillit, le jeune homme se retrouva propulsĂ© en arriĂšre et vint faire la bise au miroir derriĂšre lui ! C'Ă©tait un comble d'embrasser son reflet, lui qui semblait si imbus de lui mĂȘme !... Puis la sorciĂšre revint Ă  elle et regretta dĂ©jĂ  que ce ne soit que de simples pensĂ©e agrĂ©able. M*rde. Elle allait ouvrir la bouche mais Elena la devança, pour son plus grand Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Elle fit mine de chercher des Poufsouffle dans la salle. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de exulta intĂ©rieurement et fut Ă©patĂ©e de la rĂ©action de sa jeune camarade, si bien qu'un large sourire incontrĂŽlĂ© vint illuminer son visage. Elle rĂ©prima un rire et mua son expression faciale en un sourire en apparence plus doux mais qui pour les moins abrutis laissait voir une "pointe" mĂ©prisante. Elle rajouta alors sans qu'il n'ai le temps de rĂ©pondre Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 1906 Massant ses joues dĂ©licatement avec une crĂšme hydratante, CĂ©lya observait ses yeux fatiguĂ©s. Il Ă©tait encore tĂŽt pour la jeune fille, qui n'avait pas passĂ© la meilleure des nuits. L'insomnie l'avait gagnĂ©e dĂšs lors qu'elle s'Ă©tait installĂ©e dans son lit et elle n'avait eu que des petits moments de sommeil qui n'avaient pas rĂ©ussi Ă  la requinquer. En plus, une des filles du dortoir ronflait, ce qui perturbait le calme de son insomnie. La blondinette bĂąilla et mit de l'anti-cernes, avant de se maquiller lĂ©gĂšrement les yeux et de passer un coup de gloss sur ses lĂšvres. Elle termina de se prĂ©parer en attachant ses cheveux en une demi-queue et enfila son uniforme. En se regardant dans le miroir, CĂ©lya trouva qu'elle avait une bonne mine mais ses yeux trahissaient sa prĂȘte pour attaquer une longue journĂ©e de cours, la bleu et bronze se rendit dans la Grande Salle oĂč son petit dĂ©jeuner l'attendait. Des Ɠufs sur le plat, des tartines grillĂ©s, de la confiture de fraise, du jus de citrouille et de l'eau. Ce fut un bon repas, qui remplit bien l'estomac de CĂ©lya, jusqu'Ă  la rendre presque lourde et ensommeillĂ©e. BĂąillant pour au moins la trentiĂšme fois depuis qu'elle Ă©tait levĂ©e, la blondinette monta jusqu'au quatriĂšme Ă©tage oĂč le cours de DĂ©fense contre les Forces du Mal Ă©tait donnĂ©. Le Professeur Boccini leur rĂ©servait encore une surprise, puisque son cours n'aurait pas lieu dans la salle de classe habituelle. CĂ©lya Ă©tait curieuse de connaĂźtre le thĂšme qu'elle avait entrant dans la fameuse salle, la blondinette fut complĂštement abasourdie. Il n'y avait pas de murs, ou du moins ceux-ci Ă©taient entiĂšrement recouverts de grands miroirs. Il y avait dĂ©jĂ  quelques Ă©lĂšves prĂ©sents, en petits groupes Ă©parpillĂ©s dans l'espace disponible. Avec les reflets, on aurait dit que la salle Ă©tait bondĂ©e. Il n'y avait aucune chaise, aucun banc, juste une grande armoire intrigante. CĂ©lya s'avança doucement, observant ses nombreux reflets. Elle n'aimait pas trop ça, mais bon... Bonjour Professeur ! » s'exclama-t-elle en passant devant la beautĂ© fatale blonde. Il y avait lĂ  une petite bande de Serdaigle, mais pas que. CĂ©lya s'en rapprocha, sentant qu'une certaine tension rĂ©gnait dans l'atmosphĂšre. Elle connaissait au moins tous les visages prĂ©sents, vu qu'elle avait Ă©tĂ© PrĂ©fĂšte jusqu'Ă  rĂ©cemment, mais elle ne parvenait pas Ă  remettre les noms. Salut par ici ! Alors, on fait des pronostics sur le contenu de l'armoire ? » fit-elle sur un ton fallait dire que sa curiositĂ© Ă©tait piquĂ©e Ă  vif. Une armoire, seule trĂŽnant au milieu d'une piĂšce remplie de miroirs... En laissant traĂźner son regard, CĂ©lya vit que des lettres de flammes indiquaient le thĂšme du cours. Les patronus ? Les DĂ©traqueurs ? Ha bah... elle n'avait pas vu plus tĂŽt l'inscription, et pourtant, elle Ă©tait quand mĂȘme voyante. Cela promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2026 Comme prĂ©vu, le serpentard Ă©tait arrivĂ© au cours en avance, et il attendait donc patiemment que le cours commence. Contre l'ennui, il avait toujours ses petits jeux », qui consistaient Ă  observer un peu en dĂ©tails les autres, ce qui l'amusait la plupart du temps. Mais cette fois-ci, il avait vite perdu patience. Rien de pire que de devoir subir les piaillement de ces petits idiots hystĂ©riques et ne sachant pas se tenir. Dans tous les sens les conversations fusaient Oh mon dieu, que crois-tu qu'il y ait dans cette armoire ? -Oh selon le titre du cours il se peut que ça soit un dĂ©traqueur ? - Mais c'est bien trop dangereux ! - Ah oui je ne sais pas. Tu crois qu'on va faire des patronus ? - Oulalah, c'ets bien trop compliquĂ© pour moi, je n'y arriverai jamais ! - E si ce n'est pas un dĂ©traqueur, qu'est-ce que ça peut-ĂȘtre ? - Mais c'est trop dangereux ! » Rajoutez la voix d'adolescente excitĂ©e et impatiente et vous aurez l'immonde tableau sonore que devait supporter le serpentard. Et lui, murĂ© dans son mutisme, attendait. Il aurait aimĂ© crier mais bon sang, arrĂȘtez de vous poser des questions stupides et attendez donc le dĂ©but du cours ! Vous saurez enfin ! Pas besoin de passer une heure dessus. Mais malheureusement pour lui il ne disait rien, histoire de pas se faire remarquer dĂšs le dĂ©but, et le blabla incessant continuait. Ah c'Ă©tait fou, il y avait lĂ  des adolescents bien plus grands que lui, et il avait l’impression qu'ils n'Ă©taient que des gamins excitĂ©s devant leur premier cours de magie. Bon, il y avait bien un petit poufsouffle qui paraissait bien jeune, et ses questions stupides pouvaient ĂȘtre excusĂ©es par son jeune Ăąge, mĂȘme s'il Ă©tait en faite plus vieux que Ted. Mais les autres s'en posaient des tout aussi stupides. Heureusement que le professeur fit elle-mĂȘme une petite rĂ©flexion, et dĂšs ce moment Ted sut qu'il passerait finalement un bon cours. Enfin, il priait tout de mĂȘme pour que ce dernier commence rapidement, histoire de fermer le clapet de ces aigles aux piaillements de poules effarouchĂ©es. Mais la situation changea quelque peu quand le jeune poufsouffle s'essaya Ă  un trait d'humour - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous. Hop ! Ni une ni deux, les aigles montaient sur leurs grands rochers, et ne se lacĂšrent point d'attaquer ce pauvre jeune homme, bec et serres. Ah c'Ă©tait ça vouloir faire une pique avec des imĂ©bciles. - Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? lança une premiĂšre bleu et bronze. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison. Et une autre nuĂ©e de coup arriva -Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Commença Ă  renchĂ©rir un seconde serdaigle. Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis... C'en Ă©tait trop. Il Ă©tait temps que quelqu'un de censĂ© s'en mĂȘle. Oh le jeune homme ne venait pas dĂ©fendre le poufsouffle, loin de lĂ  cette idĂ©e grotesque. Non, il voulait juste fermer le clapet de ces aigles un poil trop dĂ©sagrĂ©ables. Et puis pour remĂ©dier Ă  l'ennui, et moins attendre le dĂ©but du cours, rien de mieux que se mĂȘler un peu de la vie des autres, souvent guĂšre passionnante -Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Et pendant qu'il avait parlĂ© il avait bien fixĂ© les deux intĂ©ressĂ©s d'un regard foudroyant soit Siobhan et Elena, dont il ignorait pour l'instant le nom. Cela faisait longtemps qu'il en s'Ă©tait pas ainsi fĂąchĂ©. Maintenant il ne restait plus que le cours commence, et il passerait une bonne journĂ©e. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2150 - Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Siobhan resta perplexe sur le coup et avisa rapidement le jeune homme qui venait d'intervenir hĂ©roĂŻquement, quelle classe, quelle prestance, elle en aurait presque eu des chatouillis au bas ventre... Ou pas. Elle inspira calmement et le laissa s'exprimer librement sans sourciller, la mine paisible et plus dĂ©tendue que prĂ©cĂ©demment. *Un adversaire Ă  ma mesure ?* Peut-ĂȘtre que l'attente allait finalement ĂȘtre un brin divertissante. Ébauche de sourire, malice dans l'oeil, la belle Irlandaise rĂ©pondit sur un ton lĂ©ger, volubile comme Ă  son Quelle surprise, je vais finir par croire que le Choixpeau est Ă  cĂŽtĂ© de la plaque depuis un sacrĂ© bout d'temps, et ici, la seule chose mal rĂ©partie, c'est la tienne. Un Serpentard prenant la dĂ©fense d'un pauvre opprimĂ© ? Je dois me faire des idĂ©es, sans doute fais-tu cela uniquement dans le but de te sentir important ou bien ta bouche est-t'elle si pleine de conneries que tu doivent en dĂ©biter un flot continu pour ne pas t'Ă©touffer dans ton propre venin ? Si ça peut te rassurer tu fais honneur Ă  ta maison. Encore un sot qui se laisse berner par un ton et des mots et qui fait abstraction du langage corporels. Peu importe aprĂšs tout, inutile de faire Ă©talage de ces connaissances qui de toute Ă©vidence t'Ă©chappent, autant jouer aux Ă©checs avec une poule elle chiera sur le damier et au final se pavanera comme si elle avait gagnĂ©. En parlant de dictionnaire, tu iras chercher, avec l'aide de tes camarades si le besoin s'en fait sentir, le sens du mot "ironie" et peut-ĂȘtre que par la suite tu rĂ©flĂ©chiras Ă  deux fois avant d'intervenir et d'avoir l'air idiot. Je salue tout de mĂȘme l'essai. NĂ©anmoins permet-moi de te faire part d'un proverbe qui pourra te servir, dit-elle en se rapprochant lĂ©gĂšrement pour parler Ă  voix basse, mieux vaut se taire et passer pour un c*n que de l'ouvrir et n'en laisser aucun n'attendait pas de riposte, ou plutĂŽt elle s'en fichait carrĂ©ment et se dĂ©tourna de lui sans lui accorder un regar. Ca n'aurait pas Ă©tĂ© le premier gus Ă  lui chercher des noises, ni le premier Ă  user de mots pour tenter de l'abattre. Peu importe. Bien qu'elle trouvait son intervention inutile et vaine, elle avait nĂ©anmoins au fond d'elle une certaine admiration pour le jeune homme, jouter avec le langage ne s'invente pas et aussi mĂ©diocre Ă©tait-il, il avait le mĂ©rite d'avoir essayĂ©. Siobhan inspira finalement Ă  pleins poumons et gonfla sa poitrine, l'attention que lui avait demandĂ© le sympathique Ă©change lui avait fait oublier ses angoisses et l'avait galvanisĂ©e. Mordecai MagnussenGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Mordecai Magnussen, le Jeu 15 Oct - 2159 Jacob, toujours seul dans son coin, Ă  esquisser dans sa tĂȘte des thĂ©ories sur le sujet du cours, entendit des voix monter sur sa droite. Il tourna la tĂȘte et vit la grappe d'Ă©lĂšves qu'il avait vus en entrant respectivement Nel, Siobhan, Elena Ă©changer un dĂ©bat pour le moins animĂ©. Deux Serdaigles aux yeux bleus Ă  l'air froid avaient l'air de s'acharner sur le pauvre Poufsouffle qui n'avait apparemment aucun Ă©lĂšve de sa maison sur lequel s'appuyer. Il Ă©tait tout Ă  fait vulnĂ©rable. Le Gryffondor se rapprocha afin de mieux entendre la nature de la Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? fit l'une des Serdaigles. Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de bleu et bronze enchaĂźna aussi sec -Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ?. Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis...Wow, wow, wow! Ca partait carrĂ©ment en clash! Jacob, intĂ©ressĂ©, s'approcha, afin d'avoir l'na en mĂȘme temps qu'un Serpentard Ă©lancĂ© se joignait, lui aussi, la conversation. Une autre Serdaigle, qui succomba Ă  son tour Ă  la curiositĂ© Celya Le Serpentard prit la parole -Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Jacob Ă©clata de rire. C'Ă©tait le genre de tribune qu'il se dĂ©lectait de regarder. Il craignait cependant les reprĂ©sailles des Aigles. Elles n'avaient clairement pas l'air de plaisanter. InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2256 Comme dit la bonne vieille devise de Poudlard ! Il ne faut pas chatouiller un dragon qui dort. Et encore moins un Pouffys Ă  l'attaque Ă©clair aussi impressionnante que la foudre qui s'abat sur terre en plein milieu d'une bruine qui vous perle la joue comme des larmes. Oui, comme des larmes causĂ© par l'ironie et l'esprit acĂ©rĂ© de Siobhan et Elena. Les friandises tombent de ma main, une poigne ferme qui se resserre et tremblote Ă  peine. La colĂšre, un sentiment que j'ai trĂšs peu ressenti et d'une pure Ă©nergie qui grandit en moi. La lumiĂšre s'Ă©veille, pas besoin d'images. Mon Ăąme se donne, mon esprit s'accorde dans un torrent violent. DĂ©couvert, tu t'exposes face Ă  moi. DĂ©sireux que je vienne pour me dĂ©vorer de tes paroles acerbes. Je sens la folie naĂźtre. Dans ce prĂ©lude des ĂȘtres, le combat fait rage. Je me morfonds, les Ă©clats vibrent dans la fureur. Symbole de notre ivresse, rien ne t'appartient de me suivre. Je sens ton esprit vide et dĂ©vĂȘtu. Affranchi de tout grabuge, j'entre-aperçois le refuge, resurgit tes passades frivoles de non-sens. Sensation d'un grand dĂ©sordre. Je m'Ă©vade dans l'inconnu, je lĂšve ma baguette. Electrocorpus !La misĂšre de mes jours resurgit pendant un cours instant. Le doute s'efface, le dĂ©mon s'Ă©chappe. Plus de chambre, plus de maison, un simple sort dĂ©vastateur qui vise Siobhan et cette fois, ce n'est pas qu'une pensĂ©e. Je passe Ă  l'acte ! Mon ĂȘtre vagabonde dans les mystĂ©rieux recoins de ma tĂȘte. A l'affĂ»t d'un souvenir rĂ©confortant. Je me saisis d'un instant qui pourrait effrayer les plus sensibles. VoilĂ  donc l'attaque Ă©clair d'un Pika ! A l'affĂ»t certain d'une rĂ©plique... Bien Ă©videmment, mon attaque n'est pas bien efficace pour blesser quelqu'un... InvitĂ© Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !InvitĂ©, le Jeu 15 Oct - 2329 Alors qu'elle venait tout juste de finir de parler, Sio' enchaĂźna Ă  la suite. Elle avait encore moins apprĂ©ciĂ© Tes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-... Elle l'avisa rapidement de la tĂȘte au pied et resta figĂ©e sur son sourire agaçant, puis grimaça et se reprit. Ouais, non... Oublie ce que j'ai dis...Alors qu'elle pensait que tout s'arrĂȘterait lĂ , Ă  sa bonne surprise un Serpentard dĂ©fendit Et bien, je crois que c'est vous que le Choixpeau a mal rĂ©parties, commença-t-il. Les serdaigles ne sont-ils pas censĂ©s ĂȘtre intelligents ? Alors pourquoi ĂȘtre vous trop stupides pour reconnaĂźtre de l'humour ? Oh c’est facile de monter sur ses grands chevaux et s'en prendre verbalement Ă  un Ă©lĂšve en deux contre un. Alors s'il vous plaĂźt, rangez votre rhĂ©torique, et allez chercher les dĂ©finitions de ton lĂ©ger », humour » et blague » dans un dictionnaire. Enfin j'espĂšre que vous savez quand mĂȘme vous en servir. Et puis aux derniĂšres nouvelle, si j'ai bien vu les sabliers ce matin, vous ĂȘtes bien derniers. Alors si vous n'assumez pas votre maison, c'est votre problĂšme, mais pas besoin de vous en prendre Ă  la premiĂšre personne qui vous dira une chose rĂ©elle, sur le ton de la plaisanterie qui plus est. Et toi en se tournant vers le poufsouffle, je veux bien parier comme toi. Elles ont l'air si stupides que cela m'Ă©tonnerait qu'elles aient une bonne note. Souhaitant prendre la parole, elle ce fit devancer par son amie qui ne ce laissa pas faire. Elena assista la scĂšne comme spectatrice. - Quelle surprise, je vais finir par croire que le Choixpeau est Ă  cĂŽtĂ© de la plaque depuis un sacrĂ© bout d'temps, et ici, la seule chose mal rĂ©partie, c'est la tienne. Un Serpentard prenant la dĂ©fense d'un pauvre opprimĂ© ? Je dois me faire des idĂ©es, sans doute fais-tu cela uniquement dans le but de te sentir important ou bien ta bouche est-t'elle si pleine de conneries que tu doivent en dĂ©biter un flot continu pour ne pas t'Ă©touffer dans ton propre venin ? Si ça peut te rassurer tu fais honneur Ă  ta maison. Encore un sot qui se laisse berner par un ton et des mots et qui fait abstraction du langage corporels. Peu importe aprĂšs tout, inutile de faire Ă©talage de ces connaissances qui de toute Ă©vidence t'Ă©chappent, autant jouer aux Ă©checs avec une poule elle chiera sur le damier et au final se pavanera comme si elle avait gagnĂ©. En parlant de dictionnaire, tu iras chercher, avec l'aide de tes camarades si le besoin s'en fait sentir, le sens du mot "ironie" et peut-ĂȘtre que par la suite tu rĂ©flĂ©chiras Ă  deux fois avant d'intervenir et d'avoir l'air idiot. Je salue tout de mĂȘme l'essai. NĂ©anmoins permet-moi de te faire part d'un proverbe qui pourra te servir, dit-elle en se rapprochant lĂ©gĂšrement pour parler Ă  voix basse, mieux vaut se taire et passer pour un c*n que de l'ouvrir et n'en laisser aucun doute. Alors que Siobhan tournait le dos, la jeune aigle entendit le Poufsouffle riposter mais, surement pas de la façon dont elle aurait pensĂ©. Au moment ou elle le vit lever sa baguette, Elena pris la sienne et riposta. Electrocorpus ! Protego !Elle n'Ă©tait pas vraiment choquer mais, ahuri de voir jusqu'ou avait dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© la situation. Prenant sur elle, la jeune sorciĂšre rĂ©pondit en premier lieu au Serpentard qui avait protĂ©gĂ© Écoute, c'Ă©tait certes une plaisanterie pour vous, mais ça reste provoquant et dĂ©nigrant pour nous en quelques sortes. Et en quoi le fait de riposter fait que, nous n'assumons pas notre maison ? Je suis fiĂšre d'ĂȘtre chez Serdaigle, sinon je ne serai pas ici Ă  vouloir apprendre. Puis elle se tourna vers le Poufsouffle. Quant Ă  toi, si tu as autant la gĂąchette facile Ă©vite de te moquer des autres sans penser aux consĂ©quences. Tu es peut-ĂȘtre plus grand que moi mais, ce n'est pas pour autant que je me laisserai faire. Le ton Ă©tait peut-ĂȘtre sur la plaisanterie mais, le sujet rester dĂ©licat et n'importe qui aurait pu s'en rendre compte. Nous sommes derniers en points oui c'est vrai, mais ce n'est sĂ»rement pas pour ça que nous venons assister au cours. Nous venons pour Ă©tudier comme toutes les personnes prĂ©sentes. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !LĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 15 Oct - 2357 - HĂ© ! Mais vous ĂȘtes les derniers sur le sablier, c'est pour ça que vous venez aussi nombreux Ă  ce cours ? Je parie deux gallions que j'aurais plus de points que vous, railla soudain le seul Poufsouffle dans la lionceau arqua un sourcil. *WTF ? Eh beh... il en avait du culot pour dire cela, seul contre une petite bande de rapaces* Toutefois, qu'est-ce qu'espĂ©rait l'Ă©tudiant jaune et noir ? Un rire gĂ©nĂ©ral ? Attirer l'attention sur lui ? Se faire remarquer par la prof ? Ou encore, se faire peut ĂȘtre sĂ©questrer par les Serdaigles ? Bien Ă©trange façon de montrer ses valeurs en manquant aussi peu de respect envers ses camarades de il ne fallut pas longtemps pour que les bleus rĂ©pliquent d'une maniĂšre cinglante, le prenant... trĂšs mal. En mĂȘme temps, ça pouvait se comprendre mais ce qu'avait dit le garçon n'Ă©tait pas forcĂ©ment faux. C'Ă©tait un vrai match Ă  la maniĂšre de ce sport moldu qui se joue avec une raquette et une petite balle jaune et blanche. LĂŻnwe tournait lĂ©gĂšrement la tĂȘte de droite Ă  gauche pour observer les diffĂ©rentes rĂ©actions qui fusaient de toute Nous venons Ă©tudier, ce qu'apparemment tes camarades ne font pas. Ils sont oĂč dĂ©jĂ  ? Mais oui bien sĂ»r je comprends tu es tellement apprĂ©ciĂ© qu'aucun n'a voulu ĂȘtre avec toi. Tu crois quoi ? Que c'est en essayant de nous rabaisser que ça te fera gagner des points dans leurs estimes?Retourne donc dans ton coin faire l'enfant avec tes bonbons. Le Choixpeau Ă  dĂ» trĂšs certainement faire une erreur de maison, lança Elena telle un aigle serrant contre lui sa Gryffondor arqua son sourcil encore plus haut, entre la surprise, le dĂ©goĂ»t et l'irritation. Il ne connaissait pas ce cĂŽtĂ© peu sympathique d'Elena, apparemment il ne fallait pas la chercher bien longtemps.*Les Serdaigles sont vraiment susceptibles...* Puis ce fut au tour de la septiĂšme annĂ©e, qui ne paraissait guĂšre sympathique Ă  LĂŻnweTes sucreries ne te suffisent pas Ă  couvrir toute l'amertume que tu accumule en toi mĂȘme ? Tu m'en vois navrĂ©e... Tu en es si pleins que tu te sens obliger de dĂ©verser ton venin sur ceux qui t'entourent, pas Ă©tonnant que tu sois seul. Tu drapes la vile nuditĂ© de ta scĂ©lĂ©ratesse sous une apparence de gosse propre sur lui mais tu ne peux retenir tes propre conneries. Je suis certains qu'il y a de trĂšs bons spĂ©cialiste qui pourraient t'aider, tu devrais y songer avec de te retrouver haletant et amochĂ© dans un coin. Je te dis ça en toute amitiĂ©. Tu nous as fais un compliment alors laisse-moi te donner un conseil en tout humilitĂ©... Évite de te comporter en abruti et tu verras qu'on t'apprĂ©cieras sans do-...Ah oui ? Vraiment ?... *Elle se sent vraiment plus celle-lĂ ...* se dit intĂ©rieurement le garçon. De premier abord, il ne l'avait pas tellement apprĂ©ciĂ©e, elle Ă©tait fausse. Le genre de personne qui te poignarde dans le dos avec ses serres lorsque le moment lui convient. A fortiori, elle pĂ©tait plus haut que sa baguette et ça, c'Ă©tait bien une chose que LĂŻnwe dĂ©testait chez les ton de la conversation Ă©tait de plus en plus tendu, le cours de DĂ©fense se transformait peu Ă  peu en garderie pour sorciers atteints d'hyper-agressivitĂ© et d'immaturitĂ©. Sentant que la scĂšne dĂ©gĂ©nĂ©rait, le rouge et or se dĂ©plaça lentement mais sĂ»rement vers la droite, esquivant les sorts qu'ils commençaient Ă  se lancer entre eux aprĂšs l'intervention d'un Serpentard. Ça n'allait guĂšre avancer le dĂ©bat... En fait, cela pouvait paraĂźtre attrayant, mais c'est un tout autre sentiment qui s'empara du premiĂšre annĂ©e celui de l'agacement. Tout ça l'irritait plus qu'autre chose. Il fallait Ă  tout prix que Madame Boccini intervienne avant que tous les miroirs de la salle de classe ne se brisent... Re Cours 8 ~> Patronus dĂ©traquĂ©s !Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre A Les solutions ✅ pour BONBON QUI PIQUE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "BONBON QUI PIQUE" 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș 3pm, garden district. Your sister want you to be here. Please don’t be late. Message envoyĂ© aprĂšs avoir pris soin de supprimer les prĂ©cĂ©dents, leurs secrets Ă  eux. Un ton qui se fait autoritaire et le plus neutre possible, des mots qui en cachent d’autres. I want you to be here. VĂ©ritĂ© qui fait mal au cƓur, des mots qu’il ne prononcera pas parce qu’il ne peut pas. Teodora l’entoure de ses bras tandis que Viktor hoche de la tĂȘte pour lui assurer qu’il a bien envoyĂ© le fameux message. Le parfum de sa femme vient chatouiller ses narines tandis que l’esprit pense Ă  Candace, Ă  la limite de lĂącher un rĂąle, il se dĂ©fait de son Ă©treinte en prĂ©tendant devoir aller se prĂ©parer pour cet aprĂšs-midi. Une fois Ă  l’étage, dans la chambre du couple, le blondinet observe son Ă©cran, le prĂ©nom de Candace spĂ©cifiquement. Restant ainsi quelques instants, il arrive Ă  apercevoir le sourire de la belle et son rire. Bon Dieu, son rire. Un frisson lui parcoure l’échine tandis qu’il pose son smartphone sur sa table de nuit et qu’il rejoint la salle de bains. L’eau brulante coure le long de son cƓur, vient marquer ses Ă©paules d’une rougeur avant qu’il ne sorte pour se sĂ©cher. Lorsqu’il revient dans la chambre, encore dĂ©goulinant, il rattrape son tĂ©lĂ©phone dans l’unique espoir d’avoir eu une rĂ©ponse. Son visage ne s’éclaire lorsqu’il revoit ce fameux prĂ©nom apparaĂźtre. Seulement, il n’ira pas lui dire qu’il est content d’avoir de ses nouvelles ou qu’il est excitĂ© Ă  l’idĂ©e de la revoir. Non, il rĂ©pondra par un simple Thanks » avant de lĂąher ce foutu tĂ©lĂ©phone et de rĂ©ellement se prĂ©parer. Le blondinet dĂ©cide de s’habiller d’un pantalon noir et d’une chemise blanche, manche retroussĂ©e bien rapidement. Viktor doit se montrer Ă©lĂ©gant, pas pour le wedding planner, mais bien pour les camĂ©ras qui les prendront par surprise une fois la porte franchie. Le couple quitte la maison une trentaine de minutes plus tĂŽt et conduisent jusqu’au Garden Disctrict oĂč le planificateur les attend. D’aprĂšs ces messages, la salle est parfaite et pourrait leur convenir. Une fois les portes franchies, Viktor et sa femme dĂ©couvre une salle aux couleurs blanchĂątres et oĂč la verdure est reine. Sourires aux lĂšvres, le couple fait un tour avant de retourner Ă  l’entrĂ©e. Ses yeux s’arrĂȘtent sur une silhouette bien connue, celle de Candace, la sƓur de Teo. Instinctivement, son sourire s’agrandit et ses yeux vacillent sur son corps. Dieu ce qu’il aime ce foutu corps. Il mord lĂ©gĂšrement sa lĂšvre avant de se reprendre et d’attraper sa femme par la taille, pour ne pas se faire attraper. You came. LancĂ© pour la jeune femme, le ton aussi neutre qu’il puisse l’ĂȘtre et le regard qui en dit long. Elle est lĂ . [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 1706 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș 3pm, audubon aquarium warehouse district. alors qu’elle profite du dĂ©chargement quotidien des caissons de nourritures des phoques pour se frayer discrĂštement un chemin vers les vestiaires des employĂ©s, la voix rauque de son patron vient hĂ©risser ses poils. son physique avait beau s'apparenter Ă  celui d’un lamantin plus renflĂ© que ses congĂ©nĂšres, ses yeux restaient les plus efficaces des radars et la plus grande hantise des retardataires et autres mĂ©diocres employĂ©s.— $10 off my salary, I know, lĂąche-t-elle nĂ©gligemment en pressant le pas en direction de sa loge avec l’envie viscĂ©rale d’attraper un stylo au fond de son sac et de rĂ©diger, sur le bon de commande que le livreur s’apprĂȘtait Ă  remettre Ă  son patron, sa lettre de geste las elle dĂ©tache ses cheveux, prĂ©alablement tressĂ©e pour arborer de lĂ©gĂšres ondulations, et s’empresse d’enfiler son bikini coquillage Ă©meraude en latex synthĂ©tique, vĂ©ritable purgatoire pour le semblant de poitrine dont elle est dotĂ©e. un smoky vert-bleutĂ© plus tard, elle dĂ©pose quelques bijoux de peau sur son front et ses pommettes pour finaliser sa mĂ©tamorphose et ne peut s’empĂȘcher de se faire la rĂ©flexion que jouer Ă  la camgirl quelques soirs par semaine serait sans nulle doute moins minutes avant le dĂ©but de sa reprĂ©sentation. le temps de fumer une derniĂšre cigarette avant de devoir supporter le regard discrĂštement lubrique du pĂšre de famille qui accompagne candidement ses mĂŽmes et les cris encore audibles de ses derniers quant bien mĂȘme fĂ»t-elle immergĂ©e Ă  trois mĂštres de profondeur. alors qu’elle quitte les loges pour traverser le parc et rejoindre son bassin, elle entend son portable le wedding planner. la salle. sa soeur. n’a pas le temps de laisser d’écouler d’entre ses lĂšvres la moindre injure qu’elle rebrousse dĂ©jĂ  chemin en direction des vestiaires pour revĂȘtir une tenue plus adĂ©quate. un sms Ă  son patron et quelques nombreuses limitations de vitesses dĂ©passĂ©es plus tard, elle pĂ©nĂštre, encore haletante, dans la salle savamment dĂ©corĂ©e pour l’occasion. — did you forget again? la voix de sa soeur se veut gentiment rĂ©prĂ©hensible.— me? you kidding qu’elle lĂąche, dĂ©sinvolte, en arrachant le bijou de peau, malencontreusement oubliĂ© sur sa joue, qui semble tant amuser son aĂźnĂ©e.— you could’ve let me know earlier qu’elle chuchote innocemment Ă  l’oreille du blond, comme une enfant prise la main dans le sac ou l’amante prise de court, tout dĂ©pend du point de vue. like yesterday between two orgasms, qu’elle manque d’ajouter, prĂ©fĂ©rant alors se contenter d’un sourire tout aussi parlant. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2319 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș - Did you forget again ? La voix de sa femme brise le silence qui a eu lieu aprĂšs que la voix de Viktor ne se soit fait entendre. Il arrive Ă  sentir l’atmosphĂšre se refroidir et serre la mĂąchoire. Il connaĂźt les liens qui unissent les sƓurs et n’a jamais pu amĂ©liorer le tout. Il caresse le dos de Teodora comme pour la garder calme. Il ne veut pas que ce moment devienne un cauchemar vivant. De plus, le blond n’oserait pas s’interposer entre les deux il sait qu’elles peuvent toutes les deux devenir des furies une fois Ă©nervĂ©e et n’aimerait pas faire part de ce spectacle horrifique. Candace en joue et Viktor prĂ©fĂšre arborer un visage sĂ©rieux qui ne laisse rien prĂ©sager. La belle a beau ĂȘtre en retard, elle a quand mĂȘme pris la peine de venir et Viktor lui en est reconnaissant. Lorsque les mots sont soufflĂ©s par la princesse, la blonde frisonne. L’effet qu’elle lui fait est indĂ©niable. Nier serait se mentir Ă  soi-mĂȘme. Candace lui fait de l’effet et sa voix pourrait lui faire faire n’importe quoi. - Honey maybe you should go after the wedding planner? I don’t know where he went and there’s a few things we should discuss. Pretty please? Sourit-il, lui glissant ces mots Ă  l’oreille avant de l’embrasser tendrement. Dans ses yeux, on lit qu’il fait ça pour la calmer, mais on ne lit pas qu’il veut se retrouver seul avec la gamine. Mais y’a-t-il d’autres raisons ? Évidemment que oui. Lorsque sa femme disparait, le regard bleutĂ©e de l’homme se tourne sur le corps de Candace. - She’s mad. Ça sonne comme un reproche et l’humeur de Teo semble avoir dĂ©teint sur l’humour du blondinet. La mĂąchoire serrĂ©e, il souffle avant de rouler des yeux. Il ne veut pas ĂȘtre cet homme, ne veut pas lui faire de reproches et aimerait que tout se passe bien en cette journĂ©e. Il se doit d’enfermer l’oisillon libre, rien qu’un instant. Il aimerait lui dire qu’il est content qu’elle soit lĂ , qu’il est heureux de la revoir, qu’elle est terriblement belle et qu’il n’a qu’une hĂąte la retrouver un soir pour pouvoir lui montrer Ă  quel point il est heureux de l’avoir Ă  ses cĂŽtĂ©s. - I texted you. I told you to come at 3 so why are you so late? Damn it. PartagĂ© entre sa femme et Candace, sa main vient s’enfuir dans ses cheveux bien coiffĂ© plus tĂŽt. Un souffle inaudible franchit ses lĂšvres tandis que ses prunelles viennent dĂ©fier les siennes. AprĂšs un moment de silence et plusieurs mordillements Ă  l’intĂ©rieur de sa joue, le blond fini par siffler - I’m happy to see comme c’est vrai, Ô comme il ne peut s’empĂȘcher de lui avouer ce qui le ronge depuis la minute oĂč elle a franchi la porte. - Maybe you’d like to see more of this? Dit-il en dĂ©signant la salle et les tables. Viktor veut juste fuir de cette situation par peur de causer une gĂȘne entre les deux. Fuir, son maĂźtre mot. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2326 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Ses mots enrobĂ©s d’une miĂšvrerie Ă  lui provoquer des haut le coeur, la cavalcade conciliante de sa main droite le long d’un dos qui devrait ĂȘtre le sien et son regard aqueux qui se perd dans les prunelles d’une autre, si la situation n’était pas si confuse et alambiquĂ©e, ses ongles finement manucurĂ©s seraient dĂ©jĂ  plantĂ©s Ă  mĂȘme sa chair, voir affairĂ©s Ă  lui crever les yeux. Comme il lui crĂšve le coeur, Ă  cet instant prĂ©cis. Si il lui appartenait, si il Ă©tait sien, uniquement sien, elle ne parviendrait pas Ă  supporter ce manĂšge. Mais pour l’heure, c’est la rĂ©alitĂ© qui est leur qu’elle doit supporter, et les frĂ©quentes sautes d’humeur de la future mariĂ©e en font aisĂ©ment mad.— Really ?Elle lĂšve les yeux au ciel, faussement Ă©tonnĂ©e. Comme si elle avait attendue que le scandinave ne dĂ©barque dans la vie des Lane pour s’en rendre compte. Il n’empĂȘche que la remarque du blond Ă©tire ses lippes charnues d’un lĂ©ger sourire. Elle devait bien l’admettre, il lui avait cruellement manquĂ©. Quand bien mĂȘme leur derniĂšre retrouvaille ne remonte Ă  quelques heures, une vingtaine tout au plus, quand bien mĂȘme cela fasse d’elle une soupirante dĂ©jĂ  certainement trop Ă©prise de son amant maudit, quand bien mĂȘme un seul de ses regards ne suffise Ă  la rendre bĂȘte, cruche, saugrenue, idiote, d’amour, peut-ĂȘtre.— I’m a mermaid, "honey" qu’elle laisse siffler comme une Ă©vidence, sans prendre la peine de rĂ©primer la jalousie qui empourpre lĂ©gĂšrement ses joues. Mermaids are always happy to see you.— Glad to hear marque une pause, le dĂ©fie Ă  son tour, entre impertinence et fiertĂ© faussement dissimulĂ©e. La blonde veut lui faire ployer le genou, le condamner pour s’ĂȘtre entichĂ©e de la mauvaise des Lane. Caprice irraisonnable qu’elle se trouve bien incapable de rĂ©primer.— I must say that I thought that it’s the work of your wedding that makes you so happy, son regard se pose sur ses lĂšvres, remonte malicieusement jusqu’à se perdre un bref instant dans les yeux du blond. Maybe I’d rather see something more interesting than her wedding?Jalousie quand tu nous tiens. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2328 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Viktor est sĂ©rieux et tente de le rester. Il sait de quel cĂŽtĂ© se ranger et lorsqu’elle lui rĂ©pond par un simple really ? Ă  sa constatation, Viktor secoue sa tĂȘte. Il ne supporte pas Candace quand elle est ainsi avec sa sƓur. Il sait qu’entre elles, ce n’est pas tout rose. Ô Dieu ce qu’il aimerait changer cela, mais il ne peut rien faire. Il n’a pas la force de supporter ce drame familial quand il ne prĂȘte mĂȘme pas attention Ă  sa propre famille. S’il peut appeler ça une famille, qui plus est. Teo est tonnerre et cela semble amusĂ©e sa cadette, mais seulement elle. Ses prunelles bleutĂ©es roulent et un souffle dĂ©sespĂ©rĂ© franchit ses lĂšvres lorsqu’il rĂ©alise que ce n’est pas sa bataille et qu’il n’a pas envie de se battre, en vain. Elle vient expliquer son retard, disant que c’est une sirĂšne et il arrive Ă  entendre l’intonation mise sur le mot honey, intonation qui ne lui plait guĂšre. Il aimerait lui demander d’arrĂȘter de se foutre de sa gueule, mais pourra-t-elle un jour ? ArrĂȘter de se foutre du monde qui l’entoure ? ArrĂȘter de s’amuser d’autrui ? Il ne pense pas. Et encore une fois, c’est une bataille esquivĂ©e. - Try not to be late next time. It’s important for her. Et pour lui, est-ce que ça l’est ? Il ne le prĂ©cise pas, ne prĂ©fĂšre pas en parler. Bien qu’il ait fait la demande, Viktor reste secrĂštement mitigĂ©. Il ne sait pas si ce qu’il fait est la bonne chose Ă  faire et prĂ©fĂšre ne pas y penser, mĂȘme si ça lui revient souvent en mĂ©moire et qu’il se torture avec une tonne de questions. Il sait que ce mariage est important aux yeux de sa femme, il sait qu’elle veut un mariage parfait, sans dĂ©fauts. Un mariage qui reflĂšte leur union, sans savoir qu’elle est pleine d’imperfections, pleines de mensonges et de non-dits. Il aurait pu ĂȘtre niais en disant qu’ils formaient le couple parfait, mais depuis l’arrivĂ©e de Candace dans sa vie, il arrive Ă  voir tout ce qu’il manque, tout ce qu’il n’a pas et qu’il aimerait avoir. Reprise des habitudes, Candace vient le chercher ; avec sa douce voix, elle laisse prĂ©sager plein de perversitĂ© et elle sait Ă  quel point ça l’excite. DĂ©mone aux allures de princesse, elle reflĂšte la provocation, la sensualitĂ© et l’envie. Elle n’est pas douce, fragile et que sais-je, mĂȘme si Viktor aime encore la traiter ainsi. Elle est dangereuse. Elle est tentation lĂ  oĂč il succombe. - No, no, no. Not here, not now. Stop doing what you’re doing
 Il l’observe, ses iris se stoppant sur ses lippes rosĂ©es. Elle est magnifiquement belle. - With thoses lips, with that voice- Il dĂ©glutit, recule lĂ©gĂšrement d’un pas, pas plus. Il sait qu’elle l’a emprisonnĂ© et qu’elle peut faire de lui ce qu’elle dĂ©sire et c’est ce qui l’effraie le plus. Il ferme ses yeux, secoue sa tĂȘte et souffle un bon coup. - We should go after Teo. Parce qu’il sait qu’aux cĂŽtĂ©s de Teodora, il est plus en sĂ©curitĂ©, qu’elle ne tentera rien d’indĂ©cent. Certes, l’envie de rester Ă  ses cĂŽtĂ©s et de lui faire vivre une partie de jambe en l’air existante sur l’un des quatre murs est allĂ©chante, mais il ne pourrait se le permettre aujourd’hui. Pas quand sa sƓur est Ă  quelques mĂštres d’eux, pas quand celle-ci est si heureuse, pas aujourd’hui. Il se triture les mains et tente, en vain, de dĂ©tourner son regard. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2332 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Try not to be late next time. It’s important for roule des yeux, demeure silencieuse, ravale sa fiertĂ© et tait les les virulents sarcasmes qui ne demandent qu’à dĂ©couler d’entre ses lĂšvres. Comme si elle craignait de tout gĂącher en ouvrant la bouche. Elle avait beau avoir parfaitement conscience de la position peu confortable dans laquelle elle le mettait, il n’empĂȘche qu’elle ne pouvait s’abstenir de lui faire part de son mĂ©contentement. Et plus encore de la jalousie qui ne demandait qu’à embraser tout ce qui pouvait les entourer. Soeur pour l’heure, elle Ă©tait prĂȘte Ă  faire un effort et balayer, rien que pour ses beaux yeux, ses Ă©tats d’ñme Ă©goĂŻstes. No, no, no. Not here, not now. Stop doing what you’re sent ses iris parcourir son visage, se perdre sur ses lĂšvres et, espiĂšgle, ne peut s’empĂȘcher d’y laisser courir sa langue. Juste un instant, un court instant, histoire de lui faire comprendre qu’il est Ă  sa merci, qu’il est dĂ©jĂ  trop tard. Un coup de langue qui suffit Ă  leur rappeler Ă  quel point le manĂšge auquel ils se prĂȘtent est dangereux, Ă  quel point ils finiront par s’en mordre les doigts. Au fond d’elle, elle le sait, en est intimement convaincue, ils ne peuvent que courir Ă  leur perte et sombrer. Ensemble. With thoses lips, with that voice-Il recule d’un pas, elle s’avance, fĂ©line, sans pour autant Ă©veiller les soupçons, toujours en flirtant aux abords des limites de l’indĂ©cence.— I do nothing, Viktor. I’m just talking to my brother-in-law, les mots glissent, suaves, se confondent dans un souffle qu’elle veut entrecoupĂ©. should go after Teo.— She has better things to do. And I want you all to ne lui laisse pas le temps de rĂ©pliquer et s’élance, guillerette, au centre de la salle. Jusqu’à disparaĂźtre derriĂšre une colonne florale, prenant le temps de rouler des hanches avant de se dĂ©rober.— What the hell is that?Et la sirĂšne l’attire. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2333 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Il sait qu’elle se joue de lui en disant qu’elle ne fait rien si ce n’est que parler Ă  son beau-frĂšre. Elle a ce don pour se jouer des gens que Viktor dĂ©teste, mais qu’il aime tout autant. Elle se fait malicieuse et joueuse. Deux traits de caractĂšre que Viktor a bien vite cernĂ© chez-elle, dont il s’est jouĂ© lui-aussi au dĂ©but et qu’il continue d’explorer plus les nuits passent. Lorsque ses mains agrippent ses hanches, il n’est pas rare qu’il pense Ă  toutes les fois oĂč elle a Ă©tĂ© mauvaise ou toutes les fois oĂč elle s’est jouĂ©e de lui lorsqu’il ne fallait pas. Mine, soufflĂ© prĂšs de son oreille. Un frisson lui parcourt l’échine et ses muscles se tendent. Elle ne peut pas faire ça, pas maintenant. Elle ne peut pas jouer la possessive quand il est prĂȘt Ă  se donner corps et Ăąme Ă  sa sƓur dans quelques semaines. - Cassandra. SoufflĂ© comme un supplice, il prie pour qu’elle arrĂȘte. Et pourtant, ce soir, il la suppliera de l’appeler sien. L’ñme paradoxale, un enfant qui ne sait pas ce qu’il dĂ©sire. PrĂ©nom sifflĂ© comme pour lui demander de l’épargner tout en sachant qu’il nourrit son esprit malsain. Les diffĂ©rences entre Teo et Candace sont nombreuses, mais le caractĂšre des deux reste la chose oĂč il rencontre plus de divergence. Teo est plus sage, moins joueuse, plus pure. Chez Candace, il retrouve ce jeu malsain et cette dangerositĂ©. En jouant avec la belle, il joue avec le feu et Dieu ce qu’il aime se brĂ»ler les doigts. - We shouldn’t- Il la veut, c’est certain. Mais le suĂ©dois est plus raisonnable que la gamine. Il ne peut faire ça Ă  sa femme alors qu’elle est Ă  quelques mĂštres. SĂ»rement lĂąche de ne pas se lancer Ă  cause du danger, Viktor tente par tous les moyens de fuir. Pourtant, il sait Ă  quel point il la dĂ©sire, mais sait Ă  quel point il ne peut la possĂ©der en ce moment-mĂȘme. Les mots se perdent et la belle se glisse au milieu de la salle. Le blondinet s’avance, sait dans quel jeu il s’engage. - Don’t you like it ? LĂ©gĂšrement vexĂ©, peur que la salle ne lui plaise pas. Il aurait aimĂ© avoir des compliments de sa part et ne veut pas la voir cracher sur la salle qu’il pensait ĂȘtre leur salle. Bizarrement, Viktor tente de lui plaire plus qu’il n’essaye de tenter sa femme. Malicieuse, derriĂšre une colonne florale, elle l’attire comme la plus douĂ©e des sirĂšnes. Il ne peut y rĂ©sister. - Or is it your jealousy that is speaking? Pique lancĂ©e dans l'unique but de marquer un point dans ce jeu malsain. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2334 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Don’t you like it?Elle parvient Ă  dĂ©celer une bribe de contrariĂ©tĂ© dans le timbre de sa voix et ne peut s’empĂȘcher de froncer les sourcils, jusqu’à Ă©tirer son faciĂšs d’une lĂ©gĂšre moue de dĂ©goĂ»t. Ce serait ĂȘtre de mauvaise foi que de trouver Ă  redire sur la salle. Si il y avait bien une chose qu’elle ne pouvait retirer Ă  sa soeur, c’était son sens artistique et, couplĂ© Ă  celui du suĂ©dois, le rendu final ne pouvait qu’ĂȘtre Ă©poustouflant. LĂ  oĂč elle aurait peinĂ© Ă  se dĂ©cider, quand bien mĂȘme eĂ»t-elle engager le meilleur wedding planner de Louisiane, ces deux lĂ  Ă©taient capables d’exceller. Ils Ă©taient faits pour ĂȘtre ensemble, c’était indĂ©niable. Et, elle, Ă  l’image d’une fillette colĂ©rique, prenait plaisir Ă  Ă©craser rĂȘves et chĂąteaux de sable.— Not really, it’s too
 smooth. You know? qu’elle lĂąche, tout sourire, en s’amusant Ă  effleurer du bout de son index la composition florale. PrĂȘte, Ă  arracher une Ă  une ses pĂ©tales Ă  la moindre is it your jealousy that is speaking?Ses doigts se referment aussitĂŽt autour de l’une d’elle, la laisse glisser au pied du blond dans un sourire forcĂ©. — Oh, sorry. Sur un ton faussement dĂ©solĂ©, elle s'excuse. Elle se maudit d’ĂȘtre Ă  sa merci et le maudit plus encore d’ĂȘtre capable, Ă  l’aide de quelques mots Ă  peine, de l’irriter autant qu’il ne l’enfiĂšvre, de l'obsĂ©der autant qu’il ne excĂšde. Viktor qui Ă©lectrise chaque parcelle de son corps Ă  mesure qu’il se refuse Ă  lui appartenir. Viktor qui la possĂšde Ă  la nuit tombĂ©e et s’abandonne au bras d’une autre aux premiers rayons du soleil.— Me, jealous? You must be joking!CachĂ© par la colonne, elle se permet une promiscuitĂ© nouvelle. La blonde s’avance de quelques pas, jusqu’à ce qu’il perçoive la chaleur de son souffle doux et rĂ©gulier. Si la situation le permettait, elle ne s’efforcerait pas Ă  le piquer Ă  son tour, se contenterait de dĂ©vorer ses lĂšvres avec aviditĂ©. — You know what they say about weddings, honey? It’s the perfect place for dating, elle marque une pause, s’avance dangereusement pour lui susurrer quelques mots au creux de l’oreille, or find a fucking one-night stand for me. Who know. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2335 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș La belle l’attire dans ses filets sans mĂȘme qu’il ne s’en rende compte. SirĂšne douĂ©e de son charme qui en un claquement de doigt, a l’homme a ses pieds la suppliant de relĂącher son emprise sur lui. S’il avait le choix, il dĂ©ciderait de ne pas ĂȘtre si Ă©pris d’elle, se dĂ©ciderait Ă  garder ses distances en connaissant la dangerositĂ© qu’est cette crĂ©ature fĂ©minine aux dons de charme incroyable. Lorsque sa main se referme sur une des fleurs pour venir l’arracher de sa composition florale, la mĂąchoire du garçon se referme instinctivement. Elle a ce besoin de destruction que Viktor ne comprend qu’une fois sur deux. Quand il joue l’adulte responsable et respectable, il ignore cet aspect de lui qu’elle fait ressortir chez-lui. Cette envie de tout dĂ©truire, cette envie sauvage de tout avoir dans la paume de sa main pour tout rĂ©duire en cendre. - Please don’t. Il demande presque gentiment, voulant Ă  tout prix garder son calme. Il ne veut pas participer Ă  son petit jeu malsain et qui les mĂšne droit dans un mur. Le s’il-te-plaĂźt lancĂ© comme pour garder un semblant de respect mutuel. Le suĂ©dois la respecte, elle et son corps. Le suĂ©dois la respecte tant il peut la dĂ©tester pour ce comportement enfantin empli de jalousie malsaine. Candace a besoin d’anarchie lĂ  oĂč Viktor recherche le calme, Candance se montre lĂ  oĂč Viktor tente par tous les moyens de cacher l’ordure qu’il se redresse lorsqu’elle nie jalouser sa sƓur et lorsqu’elle se met Ă  parler de coup d’un soir. Le blond dĂ©glutit et son poing se resserre sur lui-mĂȘme. Elle sait oĂč appuyer pour le faire mal, pour l’atteindre. Elle sait et elle en joue. Et Dieu ce qu’il dĂ©teste ça, ce qu’elle peut allumer la flamme pour crĂ©er un feu dĂ©vastateur. - Go ahead. Fuck everyone you want to fuck. Dit-il, main lancĂ©e dans une direction inconnue comme pour lui dĂ©signer d’y aller maintenant. Sur son visage, on peut lire la colĂšre et la jalousie dĂ©vastatrice. Ses prunelles ne reflĂštent que haine et malice, si bien qu’on pourrait y croiser les flammes jaillissante derriĂšre ses iris bleutĂ©es. - But we both know that you’ll always come back to me. Proche de lui, il arrive Ă  sentir son souffle sa peau et il frisonne. Il tourne sa tĂȘte vers elle, ne laissant aucune proximitĂ© entre leurs deux visages si ce n’est que quelques millimĂštres. Quelques millimĂštres entre leurs lĂšvres, et dans un Ă©lan de fĂ©rocitĂ©, il souffle. - You can’t get rid of me. You know it. Ses prunelles se relĂšve et maintient ce regard qui les anime tous les deux. À quelques millimĂštres du danger, de la passion, de l’envie, de son tout. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2337 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Go ahead. Fuck everyone you want to ne dĂ©voile rien, se contente d’arborer le faciĂšs le plus dĂ©tachĂ© qui soit. Comme si ses mots ne l'atteignaient pas, comme si la rĂ©action du scandinave n’était pas sans lui dĂ©plaire et qu’intĂ©rieurement la blonde ne jubilait prĂ©sentement pas. C’est dĂ©raisonnable, Ă  la limite presque d’ĂȘtre malsain, mais Candace ne peut s’empĂȘcher d’en tirer un certain plaisir. Elle a le coeur qui dĂ©borde quand la voix de Viktor se pare d’un timbre envieux, l’échine qui frissonne lorsqu’il enrage rien qu’à l’imaginer au bras d’un autre. Jalousie grisante, ensorcelante convoitise. But we both know that you’ll always come back to vient se rapprocher, ne laisse plus que quelques millimĂštres entre leurs deux visages. Il se prĂȘte Ă  leur danse macabre, se laisse entraĂźner dans ce jeu infernal, leur jeu infernal. Une once de culpabilitĂ© s’éveille alors en elle, prise entre la raison qui l’implore de tout envoyer valser et le dĂ©sir qui embrase chaque parcelle de son corps Ă  mesure qu’il approche son visage du can’t get rid of me. You know ce qu’il ne l’achĂšve et que plus rien n’ait de sens autour d’eux. Ni Teodora, ni ce foutue mariage. Il n’y a plus qu’elle et lui, plus que les dĂ©sirs de sa chair qui ne demandent qu’à ĂȘtre comblĂ©s et son corps prĂȘt Ă  se damner pour se perdre contre celui du suĂ©dois.— Just like you know I want s’avance lĂ©gĂšrement et relĂšve la tĂȘte pour effleurer le bout de ses lĂšvres du bout des siennes. Rien qu’un instant, furtif, et recommencer, quelques secondes Ă  peine. La peur d’ĂȘtre surprise ronge toujours ses entrailles, accĂ©lĂšre son pouls, saccade sa respiration. Mais c’est plus fort qu’elle, comme une pulsion primaire qui ne demanderait qu’à ĂȘtre assouvie.— Take me somewhere else. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 112 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș — Just like you know I want lippes frĂŽlent les siennes et il a l’impression de goĂ»ter au plus doux des poisons, au plus enivrant de tous. Comme une addiction, le blond la dĂ©sire plus qu’il n’a dĂ©sirĂ© quiconque dans sa vie. Elle l’envoĂ»te, le charme et utilise les bons mots pour le faire chavirer. I want you too, qu’il pense alors qu’il vient poser sa main sur la joue de porcelaine de la belle. La tension fait comme vibrer la piĂšce et le suĂ©dois a l’impression d’ĂȘtre autre part. Il en oublie sa femme, le mariage et les prĂ©paratifs. La seule personne qui compte, au moment mĂȘme, c’est Cassandra toute entiĂšre. Il dĂ©sire ses lĂšvres, son corps et ose mĂȘme dĂ©sirer son cƓur Ă  certain moment. Mais il sait qu’entre les deux, ce n’est qu’une histoire d’attraction et de dĂ©sir. Alors que son corps lui appartient, son cƓur appartient Ă  sa sƓur. C’est ainsi qu’il arrange les choses dans sa tĂȘte, dans ce bordel ambiant qu’est sa misĂ©rable vie. - Candace. Surnom prononcĂ© comme un supplice, comme un rĂąle silencieux. Il la veut. Elle a gagnĂ©, encore une fois. Lorsqu’elle lui demande de l’emmener autre part, il ne faut pas un milliseconde pour que le blond attrape sa main et s’enfuit avec sa belle. Il s’arrĂȘte Ă  la premiĂšre porte, l’ouvre dans la volĂ©e et sans mĂȘme vĂ©rifier si cette piĂšce est vide, il emporte la gamine dedans. Porte refermĂ©e derriĂšre elle, il la coince sur celle-ci et l’emprisonne de ses bras. Les mots ne pourraient dĂ©crire Ă  quel point il la dĂ©sire. Les mots manquent. Le premier baiser est volĂ©, il emprisonne ses lippes avec les siennes et on pourrait sentir la tension augmenter Ă  ce simple geste. Il dĂ©vore ses lĂšvres sucrĂ©es comme s’il attendait de faire ça depuis des heures. Et c’est sĂ»rement le cas. Le baiser n’est pas doux, il est fougueux et presque sauvage. - I want you. Qu’il lui dit alors que ses prunelles remontent pour soutenir le regard, comme s’il pouvait parler grĂące Ă  ses iris. Il lui faut peu de temps pour qu’il vienne succomber et embrasser chaque parcelles de sa peau visible. Il revient rapidement sur ses lĂšvres qu’il emprisonne Ă  nouveau. Ce qu’elle peut le rendre dingue. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 113 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș prĂ©nom, soufflĂ© comme un aveu silencieux, suffit Ă  lui hĂ©risser quelques poils et laisser courir un nouveau frisson le long de son Ă©chine. Il ne lui laisse aucun rĂ©pit, pas mĂȘme le temps de savourer la main qu’il porte Ă  son visage poupon. AussitĂŽt, ses doigts se referment autour de sa main droite et il l'entraĂźne dans la piĂšce la plus proche, bien Ă  l’abri des regards. La porte claque derriĂšre elle et, ses yeux n’ont pas le temps de s’habituer Ă  la pĂ©nombre des lieux que dĂ©jĂ , il la plaque sans mĂ©nagement contre cette derniĂšre. Les gestes sont imprĂ©cis, saccadĂ©s, animĂ©s par un dĂ©sir certainement trop longtemps want mots se perdent entre deux baisers, au creux de lĂšvres insatiables, dans un souffle saccadĂ© qui tĂ©moigne de l’ascenseur Ă©motionnel que le blond lui fait vivre. D’un geste las, elle tente d’accĂ©der Ă  la poignĂ©e, en quĂȘte d’une clĂ© ou d’un quelconque loquet, de façon Ă  ce que rien ni personne ne puisse venir les dĂ©ranger. RatĂ©, elle se retrouve vite vaine, trop vite mĂȘme, les mains qui tĂątonnent inutilement la porte, l’esprit qui divague. Elle ne parvient pas Ă  se concentrer, si ce n’est sur le dĂ©sir qui anime son bas ventre, comment pourrait-elle mĂȘme se concentrer sur quoi que ce soit quand il s’attarde dans son cou et dĂ©vore toutes les parcelles de son corps Ă  la portĂ©e de ses lĂšvres.— Don’t look at me like that way. You’re gonna drive me ses mains viennent encercler son visage et l'incliner vers le sien afin de dĂ©poser, d'abord, un fin baiser sur sa lĂšvre infĂ©rieure.— Ok. You drive me crazy, Viktor Thörngren qu’elle souffle entre deux baisers, jusqu’à finir par possĂ©der ses lĂšvres toutes entiĂšres. Elle l’embrasse fougueusement Ă  pleine bouche, sa langue virevoltant avec la sienne, se collant lascivement tout contre lui, ses mains vagabondant dans ses cheveux et sur sa se dĂ©tacher tout aussi subitement, se plaquer d’elle-mĂȘme contre la porte en bois. Haletante.— I didn't expect you to be so... reckless qu’elle lĂąche dans un rire, ses lĂšvres toujours collĂ©s aux siennes, s’amusant de laisser courir sa langue sur ses derniĂšres. Habituellement, c'Ă©tait elle l'inconsciente. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 1236 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Viktor est contrĂŽlĂ© par le dĂ©sir qui brĂ»le en lui. Un feu qui a Ă©tĂ© allumĂ© par Candace, elle qui jetait des brindilles pour voir le tout se consumer. Fou d'elle, il l'emporte je-ne-sais-oĂč. Main serrĂ©e dans la sienne, premiĂšre porte prise pour venir emprisonner la belle contre celle-ci. Le regard se fait brĂ»lant, le contact de sa peauc contre la sienne est Ă©lectrique. Un sourire lui Ă©chappe lorsqu'elle lui avoue qu'il va la rendre folle Ă  l'aide d'un seul regard. Le blond se sent Ă  la fois Ă  la dĂ©rive tout en Ă©tant en contrĂŽle de la situation. Il sait que sa femme n'est pas loin, sait qu'il compte prendre la belle dans le lieu oĂč il cĂ©lĂ©brera son mariage, mais il n'en a que faire. Il veut Candace tout entiĂšre. Il la veut maintenant. GuidĂ© par son instinct, il ne se dit pas que c'est mal, il ne s'en veut pas. Il n'a que la belle en tĂȘte, elle et son corps, elle et ses lĂšvres. — Yeah? Souffle-t-il avant de lui jeter un autre regard, la dĂ©vorant complĂštement des yeux comme le plus beau des bijoux. Baiser posĂ© sur ses lĂšvres, baiser d'une douceur nouvelle. Il sourit sur ses lĂšvres en venant poser sa main sur la hanche de la belle comme pour la rapprocher de lui. PrĂ©nom prononcĂ© vient rendre fou l'homme. Elle le rend plus dingue et celui-ci ne pensait pas cela possible. Le dos de la belle vient frapper la porte, Ă  quelques centimĂštres d'elle, il vient observer la belle comme s'il s'agissait de sa plus belle proie spoiler; elle est sa plus belle proie, son plus beau lot, le plus brillant des diamants. — There's a lot you don't know, Cassandra. Son rire vient faire battre son coeur un peu plus fort. Sa main se replace sur sa hanche et vient serrer son emprise. Il la couvre de baisers, en perd son souffle, mais ne peut s'arrĂȘter. Sa main vient soulever lĂ©gĂšrement son t-shirt pour avoir un contact direct avec la douce peau de sa belle. Il l'emprisonne de son autre main, rapproche son corps du sien tout en continuant de la couvrir de baisers. — God, Candy. Surnom soufflĂ© dans un essoufflement sans fin, le blond sourit sur son cou. Dans sa tĂȘte, une centaine de scĂ©narios ont lieu. Il ne pense mĂȘme pas au danger, Ă  Teodora. Candace rĂšgne dans son esprit et Ă©veille en lui ses plus sombres cĂŽtĂ©s. Son t-shirt lĂ©gĂšrement remontĂ©, il lui redonne un de ces sourires, ceux qui la rende apparemment dingue. — Can I take that off? Il demande, l'air presque innocent. Il se joue d'elle, joue le bon garçon alors qu'il n'a qu'une envie lui arracher ce foutu tissu pour pouvoir l'admirer davantage. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 1339 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș There's a lot you don't know, acquiesce machinalement, secoue la tĂȘte de haut en bas, dans un sourire qui se perd entre leurs lĂšvres entremĂȘlĂ©s. Il y a beaucoup de choses qu’elle ne connaĂźt pas Candace, mais le corps de Viktor n’en fait pas parti. Il est ancrĂ© Ă  mĂȘme sa peau, gravĂ© sur ses lĂšvres. Elle ne connaĂźt que trop bien ses caresses, se dit qu’elle pourrait reconnaĂźtre ses doigts agiles et habiles entre mille Ă  mesure qu’il relĂšve dĂ©licatement son tee-shirt pour mieux la sentir et resserre son Ă©treinte. God, souffle du blond contre son cou lui procure quelques dĂ©licieuses chatouilles et, comme par rĂ©flexe, elle vient caler sa tĂȘte contre la sienne. Elle a les cheveux qui s’emmĂȘlent Ă  mesure qu’elle enfouit sa tĂȘte dans le cou de son amant, qu’elle frotte, docile, son visage contre le sien, Ă  la recherche de ses I take that off?Elle ne relĂšve pas la tĂȘte, s’amuse d’ignorer sa requĂȘte et prĂ©fĂšre se contenter de dĂ©poser presque sagement plusieurs baisers le long de son cou, jusqu’à tracer un chemin qui l’amĂšne aux prĂ©mices de son torse. D’une main elle s'agrippe Ă  sa nuque, de l’autre vient dĂ©boutonner, lascive, les deux premiers boutons de sa chemise. Sa langue glisse sous le tissu qu’elle relĂšve d’un doigt et le marque, vorace, d’un suçon.— Just my shirt, right? qu’elle lĂąche, moqueuse, en relevant la tĂȘte. There’s also a lot you don’t know, you know ?NĂ©gligemment elle vient poser son front contre le sien et fait remonter sa jambe gauche le long de celle du blond.— Like the fact that I have nothing under my skirt qu’elle souffle, n’était pas un oubli, juste une Ă©niĂšme provocation. Le genre de surprise qu’elle aimait lui rĂ©server quand ils devaient se rencontrer en extĂ©rieur. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 2215 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 2305 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Dim 5 Jan - 1310 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Dim 5 Jan - 1316 Contenu sponsorisĂ©â€č â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

se dit d un bonbon qui pique legerement